Vague 2.4

SICO Canada

La mise en œuvre de l’outil de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’analyse des comportements face à la COVID-19 au Canada.

Contexte

D’avril 2020 à novembre 2021, Impact Canada a dirigé la mise en œuvre de l’Outil de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’analyse des comportements face à la COVID-19 au Canada. L’étude – Surveillance instantanée COVID-19 (SICO Canada) – a été menée en collaboration avec l’équipe de la Recherche sur l’opinion publique du Bureau du Conseil privé. Les renseignements fournis par la phase 1 de SICO ont éclairé la réaction du gouvernement fédéral à la COVID-19 et permis de prendre des décisions à l’échelle du gouvernement pour répondre aux besoins particuliers et changeants des citoyens pendant la pandémie.

En février 2022, Impact Canada a lancé la deuxième phase de l’étude SICO en collaboration avec l’Agence de la santé publique du Canada et l’équipe de la Recherche sur l’opinion publique du Bureau du Conseil privé. Cette phase de l’étude permettra de continuer à surveiller l’évolution du contexte de la réponse à la pandémie avec un nouvel échantillon de Canadiens et un nouveau comité consultatif.

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Méthode Phase 2

Avec un modèle longitudinal, l'étude suit 2 000 participants recrutés dans un comité en ligne sur huit vagues de collecte de données. Les répondants constituent un échantillon représentatif de Canadiens âgés de 18 ans et plus et les résultats sont pondérés à l'aide des données du recensement de 2016 de Statistique Canada afin de refléter la distribution de la population au Canada. Pour en savoir plus sur la méthodologie, veuillez visiter la page de préinscription à l’étude SICO Canada.

Aperçus clés

Proximité de la COVID-19 et mesures de santé publique : Lors de la vague 2.4, 49 % des répondants ont déclaré avoir été – ou avoir probablement été – infectés par la COVID-19 à un moment donné de la pandémie (contre 31 % lors de la vague 2.3). Parmi ceux qui ont été infectés, 12 % déclarent avoir présenté des symptômes de l’état postérieur à la COVID. Moins de la moitié des répondants ont déclaré pratiquer souvent ou toujours des mesures de santé publique telles que le port d’un masque facial lorsqu’il n’est pas obligatoire (40 %), prendre des mesures pour améliorer la qualité de l’air (40 %) et éviter les lieux et événements publics (37%).

Vaccination chez l’adulte : Au fil du temps, le nombre des personnes qui ont l’intention d’obtenir une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 a diminué, tandis que le taux d’administration de la troisième dose n’a pas augmenté de manière significative. Lorsqu’on leur a demandé s’ils recevraient un nouveau vaccin qui protège mieux contre les variants de la COVID-19, 32 % de ceux qui ont reçu deux doses, 82 % de ceux qui ont reçu trois doses et 96 % de ceux qui ont reçu quatre doses ont indiqué qu’ils se feraient probablement administrer le nouveau vaccin.

Vaccination pédiatrique : 42% des parents d’enfants âgés de 6 mois à 4 ans ont l’intention de faire vacciner leurs enfants, soit le plus tôt possible, soit après un certain temps. Les principales raisons fournies par les parents qui n’étaient pas sûrs ou qui s’opposaient à la vaccination de leurs enfants de moins de 12 ans étaient : la conviction que les vaccins n’étaient pas nécessaires pour les enfants car ils ne risquent pas de subir des conséquences graves de la COVID-19 (63 %); le fait de penser qu’il n’y a pas eu assez de recherche ou d’essais (59 %); et le fait de penser qu’il ne sert à rien de se faire vacciner car les vaccins n’arrêtent pas la propagation de la COVID-19 (59 %).

Sources d’information et confiance : La confiance dans les sources d’information sur la COVID-19 n’a pas changé de manière significative depuis le début de la collecte des données. 51 % des répondants ont déclaré faire entièrement ou modérément confiance au gouvernement fédéral canadien, tandis que 38 % ont déclaré éprouver une méfiance modérée ou totale. La consommation d’informations sur la COVID-19 a diminué entre avril et juin 2022 et est restée relativement stable en août.

Connaissances et information erronée sur la COVID-19 : Une minorité de répondants ont indiqué que les faux énoncés sur la COVID-19 étaient « très exacts » ou « plutôt exacts ». Ces pourcentages allaient de 3 % à 30 %, selon l’énoncé. Lors de la vague 2.4, 65 % des répondants ont déclaré être très ou extrêmement préoccupés par la propagation de l’information erronée et de la désinformation en ligne.

Santé mentale et bien-être : La satisfaction à l’égard de la vie a légèrement augmenté depuis le début de la collecte de données de la phase 2 en février 2022. Lors de la vague 2.4, 75 % des répondants ont déclaré être satisfaits de leur vie dans l’ensemble, 6 % n’étaient ni satisfaits ni insatisfaits et 19 % étaient insatisfaits. Les répondants les plus jeunes (18 à 34 ans) étaient moins nombreux à se déclarer satisfaits de leur vie que les répondants plus âgés et présentaient de moins bons indicateurs de santé mentale.

Perspectives sur la pandémie et rétablissement : Dans l’ensemble, les répondants étaient assez divisés sur le moment où ils pensent que la vie ressemblera à la période prépandémique. 29% pensent que la vie ne ressemblera jamais à la période prépandémique, 23% pensent que la vie ressemble déjà à la période prépandémique, 27% pensent qu’il faudra plus de six mois pour y revenir et 7 % pensent qu’il faudra de un à six mois. Au fil du temps, la plupart des inquiétudes des répondants liées à la santé ont diminué et les inquiétudes concernant le coût de la vie, la division croissante de la société et le changement climatique sont devenues plus prioritaires.


Considérations

Données recueillies : du 3 au 26 août 2022

Taille de l’échantillon : 2 000

Lorsqu’on interprète les résultats de l’étude de Surveillance instantanée COVID-19 (SICO), il est utile de garder à l’esprit le contexte de la période de collecte de données, qui peut avoir influé sur les réponses des participants à l’étude. Avant et pendant la période de collecte de données de la vague 2.4 :

  • Le nombre de cas de COVID-19 a augmenté en août alors que la plupart des mesures de santé publique demeuraient levées.
  • La plupart des Canadiens étaient vaccinés. En date du 14 août 2022, environ 93 % de la population canadienne âgée de 18 ans et plus avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre la COVID-19, 91 % avaient reçu au moins deux doses, 60 % avaient reçu au moins trois doses et 15 % avaient quatre doses.
  • Le 14 juillet, avant la collecte des données, Santé Canada a approuvé un vaccin Moderna pour les enfants âgés de 6 mois à 5 ans. Parmi les enfants âgés de 12 à 17 ans, 87 % ont reçu au moins une dose, 84 % ont reçu au moins deux doses et 19 % ont reçu trois doses. Parmi les enfants âgés de 5 à 11 ans, 55 % ont reçu au moins une dose et 42 % ont reçu deux doses. 3 % des enfants de quatre ans et moins ont reçu une dose.

Proximité de la COVID-19 et mesures de santé publique

La moitié des répondants déclarent avoir été infectés par la COVID-19 à un moment donné

Lors de la vague 2.4, 49 % des répondants ont déclaré avoir été – ou avoir probablement été – infectés par la COVID-19 à un moment donné de la pandémie (contre 31 % lors de la vague 2.3). Le pourcentage des répondants de l’échantillon qui ont déclaré ne pas avoir été infectés par la COVID-19 est passé de 69 % en février à 47 % en août. Les répondants non vaccinés (74 %) et les répondants de l’Alberta (58 %) étaient plus susceptibles d’avoir été infectés par la COVID-19. Les répondants âgés de 55 ans et plus (32 %) et les répondants du Canada atlantique étaient moins susceptibles (40 %) de déclarer avoir été infectés.

Figure 1. Êtes-vous ou avez-vous été infecté par la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 1. Êtes-vous ou avez-vous été infecté par la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Certaines personnes déclarent avoir été infectées plus d’une fois

Parmi les répondants qui ont déclaré avoir été infectés par la COVID-19, 76 % ont déclaré avoir été infectés une fois et 13 % ont été infectés deux fois. Les répondants non vaccinés (23 %) et les répondants âgés de 18 à 34 ans (19 %) ont déclaré avoir été infectés plus d’une fois à des taux plus élevés que la moyenne (14 %).

Figure 2. Combien de fois avez-vous été infecté par la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant déclaré avoir été infectés (n=975)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 2. Combien de fois avez-vous été infecté par la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant déclaré avoir été infectés (n=975)]

     

La majorité des infections par la COVID-19 sont survenues en 2022

La majorité (71 %) des infections par la COVID-19 autodéclarées sont survenues en 2022. 13 % des personnes qui avaient été infectées par la COVID-19 (49 % de l’échantillon) ont déclaré avoir été infectés en juillet 2022. Le calendrier des infections autodéclarées dans l’étude SICO est conforme aux rapports officiels sur les vagues de COVID-19 au Canada.

Figure 3. Vous avez indiqué que vous aviez été infecté par la COVID-19. Au cours de quel(s) mois avez-vous été infecté? [Question posée aux répondants ayant déclaré avoir été infectés (n=879)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 3. Vous avez indiqué que vous aviez été infecté par la COVID-19. Au cours de quel(s) mois avez-vous été infecté? [Question posée aux répondants ayant déclaré avoir été infectés (n=879)]

     

Une petite partie des répondants déclarent avoir eu des symptômes du syndrome post-COVID

Parmi les répondants qui avaient été infectés par la COVID-19 (49 % de l’échantillon), 12 % ont indiqué qu’ils avaient présenté des symptômes du syndrome post-COVID et 14 % n’en étaient pas sûrs.

Figure 4. Avez-vous ressenti des symptômes de la COVID longue (c’est-à-dire des symptômes physiques ou psychologiques pendant plus de 12 semaines après avoir contracté la COVID-19)? [Question posée aux répondants ayant déclaré avoir été infectés (n=975)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 4. Avez-vous ressenti des symptômes de la COVID longue (c’est-à-dire des symptômes physiques ou psychologiques pendant plus de 12 semaines après avoir contracté la COVID-19)? [Question posée aux répondants ayant déclaré avoir été infectés (n=975)]

     

La moitié des personnes qui ont été infectées par la COVID-19 pensent qu’elles seront réinfectées

Dans l’ensemble, 42 % des répondants conviennent qu’ils sont susceptibles d’être infectés ou réinfectés par la COVID-19 à l’avenir. Les répondants qui avaient déjà été infectés par la COVID-19 étaient plus nombreux à convenir qu’ils seront probablement réinfectés par la COVID-19 (56 %) que les répondants qui n’avaient pas été infectés (29 %).

Figure 5. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec les énoncés suivants : Je serai probablement infecté/réinfecté par la COVID-19 à l’avenir. [Question posée à tous les répondants (n=2 000). Infectés (n=1025); réinfectés (n=975)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 5. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec les énoncés suivants : Je serai probablement infecté/réinfecté par la COVID-19 à l’avenir. [Question posée à tous les répondants (n=2 000). Infectés (n=1025); réinfectés (n=975)]

     

Un quart des répondants pensent que leur risque de contracter la COVID-19 est plus faible que celui des autres

58 % des répondants pensaient que leur risque de contracter la COVID-19 était le même que pour les autres personnes de leur âge. 26 % pensaient que leur risque était plus faible et 16 % pensaient qu’il était plus élevé que celui des autres personnes de leur âge. Les répondants âgés de 18 à 34 ans (33 %) et les résidents de l’Alberta (35 %) étaient plus susceptibles que les autres de penser que leur risque de contracter la COVID-19 était plus faible que celui des autres personnes de leur âge.

Figure 6. Veuillez donner votre avis sur l’énoncé suivant : Par rapport à la plupart des personnes de mon âge, mon risque de contracter la COVID-19 est... [Question posée à tous les répondants (n=2000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 6. Veuillez donner votre avis sur l’énoncé suivant : Par rapport à la plupart des personnes de mon âge, mon risque de contracter la COVID-19 est... [Question posée à tous les répondants (n=2000)]

     

Les répondants tiennent compte de nombreux facteurs pour évaluer leur risque personnel de COVID-19, tandis qu’un pourcentage notable de répondants n’évaluent pas leur risque

Lorsqu’on leur a demandé quels facteurs ils prenaient en compte lors de l’évaluation de leur risque personnel d’être infecté par la COVID-19, c’est leur état de santé (62 %) et leur statut vaccinal (57 %) qui ont été mentionnés le plus souvent. 16 % des répondants ont indiqué qu’ils n’évaluaient pas leur risque personnel d’être infecté par la COVID-19. Les hommes (20 %) étaient plus susceptibles que les femmes (12 %) de dire qu’ils n’évaluaient pas leur risque personnel. Les résidents de l’Alberta étaient également plus susceptibles que les autres d’indiquer qu’ils n’évaluaient pas leur risque personnel d’être infectés par la COVID (26 %).

Figure 7. Desquels des facteurs suivants tenez-vous compte lorsque vous évaluez votre risque personnel d’être infecté par la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 7. Desquels des facteurs suivants tenez-vous compte lorsque vous évaluez votre risque personnel d’être infecté par la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Un tiers des répondants ont subi un test de dépistage de la COVID-19 au cours du dernier mois

Lors de la vague 2.4, 29 % des répondants ont déclaré avoir subi un test de dépistage de la COVID-19 au cours du mois précédent, soit un test rapide (27 %) soit un test PCR (2 %). 16% des répondants ont déclaré avoir administré un test rapide à quelqu’un d’autre au cours du mois précédent. Les pratiques de dépistage ont été assez stables entre juin et août.

Figure 8. Au cours des quatre dernières semaines, avez-vous … [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 8. Au cours des quatre dernières semaines, avez-vous … [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

La moitié des répondants n’utiliseraient pas les tests rapides s’ils devaient les payer

47% des répondants n’étaient pas d’accord avec l’énoncé selon lequel ils utiliseraient les tests rapides s’ils devaient les payer. Les répondants dont le revenu est inférieur à 30 000 $ étaient légèrement moins susceptibles d’être d’accord (26 %) avec l’énoncé selon lequel ils utiliseraient des tests rapides s’ils devaient les payer que ceux dont le revenu se situe entre 40 000 $ et 100 000 $ (30 %) ou est de 100 000 $ ou plus (35 %) . 75 % des répondants ont convenu que les gouvernements devraient fournir des tests rapides gratuits aux Canadiens.

Figure 9. Veuillez indiquer votre degré d’accord avec les énoncés suivants : [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 9. Veuillez indiquer votre degré d’accord avec les énoncés suivants : [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

L'adhésion à de nombreuses mesures de santé publique est faible

Moins de la moitié des répondants ont déclaré appliquer souvent ou toujours des mesures de santé publique telles que le port d’un masque facial lorsqu’il n’est pas obligatoire (41 %), prendre des mesures pour améliorer la qualité de l’air (40 %) et éviter les lieux et événements publics (37 %). La proportion relativement faible de répondants qui pratiquent volontairement des mesures de santé représente le dernier point de données d’une tendance à la baisse au fil du temps. Les répondants âgés de 55 ans et plus et les femmes étaient plus susceptibles que les autres de déclarer pratiquer souvent ou toujours des comportements de santé publique. Les répondants les plus jeunes, les hommes et les résidents de l’Alberta étaient moins susceptibles que les autres de déclarer pratiquer ces mesures.

Figure 10. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour prévenir la propagation de la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 10. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour prévenir la propagation de la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Le respect des mesures de santé publique a légèrement diminué au fil du temps

De manière générale, le pourcentage des répondants qui déclarent pratiquer souvent ou toujours les mesures de santé publique a légèrement diminué entre février et août, à l’exception des mesures d’amélioration de la qualité de l’air qui ont légèrement augmenté (de 29 % en février à 40 % en août).

Figure 11. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour empêcher la propagation de la COVID-19 ? [Question posée à tous les répondants (n=2 000); ont répondu souvent ou toujours]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 11. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour empêcher la propagation de la COVID-19 ? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

La plupart de ceux qui portent des masques n’utilisent pas de masques de type respirateur

Parmi les répondants ayant déclaré porter parfois, souvent ou toujours un masque au cours du dernier mois (84 % de l’échantillon), 56 % ont déclaré porter des masques d’intervention ou chirurgicaux, 25 % ont déclaré porter des masques non médicaux et 19 % ont déclaré porter des respirateurs. Alors que les répondants âgés de 55 ans et plus ont déclaré plus souvent que les autres porter des masques dans des environnements où ce n’était pas obligatoire (53 % déclarent porter souvent ou toujours un masque), seuls 22 % ont déclaré porter des masques de type respirateur.

Figure 12. Lequel des types de masques suivants portez-vous le plus souvent? [Question posée aux répondants ayant parfois, souvent ou toujours porté un masque au cours du dernier mois (n=1699)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 12. Lequel des types de masques suivants portez-vous le plus souvent? [Question posée aux répondants ayant parfois, souvent ou toujours porté un masque au cours du dernier mois (n=1699)]

     

La participation aux rassemblements, aux événements et aux voyages a augmenté au fil du temps

En général, la participation aux rassemblements, aux événements et aux voyages a augmenté d’une vague à l’autre entre février et juin et est demeurée relativement stable entre juin et août. Les répondants les plus âgés et les femmes étaient moins susceptibles de déclarer avoir participé aux activités énumérées. Par exemple, 73 % des répondants âgés de 55 ans et plus déclarent rendre visite à leur famille et à leurs amis à l’intérieur, contre 81 % en moyenne.

Figure 13. Au cours des deux dernières semaines*, avez-vous fait l’une des activités suivantes? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 13. Au cours des deux dernières semaines*, avez-vous fait l’une des activités suivantes? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Plus de la moitié des répondants pensent que le rétablissement des mesures de santé publique serait nécessaire dans différents scénarios

Lorsqu’on leur a demandé si un rétablissement des mesures de santé publique serait nécessaire dans différents scénarios, les répondants qui pensaient qu’un rétablissement des mesures serait nécessaire si un nouveau variant plus mortel de la COVID-19 apparaissait (69%) et si les hôpitaux devenaient de plus en plus débordés (67 %) étaient les plus nombreux. Cependant, un quart des répondants pensaient qu’un rétablissement des mesures ne serait pas nécessaire dans ces scénarios. Les répondants les plus âgés, les femmes, les résidents de la Colombie-Britannique et les résidents du Canada atlantique étaient les plus susceptibles d’indiquer qu’un rétablissement des mesures serait nécessaire. Les répondants de moins de 55 ans, les hommes, les résidents de l’Alberta et les résidents du Québec étaient moins susceptibles de penser qu’il serait nécessaire.

Figure 14. Dans quelle mesure pensez-vous qu’il serait nécessaire ou inutile de rétablir des mesures de santé publique dans chacun des scénarios suivants? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 14. Dans quelle mesure pensez-vous qu’il serait nécessaire ou inutile de rétablir des mesures de santé publique dans chacun des scénarios suivants? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Plus de la moitié seraient favorables au rétablissement de nombreuses mesures de santé publique, si nécessaire

La majorité des répondants de l’étude SICO ont indiqué qu’ils soutiendraient l’adoption ou le rétablissement de nombreuses mesures de santé publique si elles s’avéraient nécessaires. Les mesures les plus soutenues comprenaient les exigences concernant le port du masque (69 %), les exigences concernant la preuve de vaccination (57-59 %) et la limitation des rassemblements (57 %). Les mesures auxquelles ils s’opposaient le plus étaient les fermetures d’entreprises (54 % d’opposition), les fermetures d’écoles/garderies (46 %) et les ordres de demeurer à son domicile (50 %). Les répondants âgés de 55 ans et plus et les femmes étaient beaucoup plus susceptibles de soutenir l’hypothétique rétablissement des mesures.

Figure 15. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 15. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Vaccination chez l’adulte

Le nombre des personnes qui ont l’intention de recevoir une troisième dose diminue, tandis que le taux d’administration des troisièmes doses stagne

Lors de la vague 2.4, 20 % des répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 ont indiqué qu’ils recevraient probablement une troisième dose. Au fil du temps, le nombre des personnes qui ont l’intention de recevoir une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 a diminué en passant de 39 % en février à 20 % en août, tandis que le taux d’administration de la troisième dose n’a pas augmenté de manière significative.

Figure 16. Si une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 était disponible et recommandée pour vous, quelle serait la probabilité que vous l’obteniez? [Question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=1 278) ]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 16. Si une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 était disponible et recommandée pour vous, quelle serait la probabilité que vous l’obteniez? [Question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=1 278) ]

     

Beaucoup pensent que les troisièmes doses ne sont pas nécessaires car elles n’arrêtent pas la propagation de la COVID-19

Les principales raisons fournies par les répondants qui n’ont pas encore reçu une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 étaient l’impression que les vaccins n’arrêtaient pas la propagation de la COVID-19 et qu’il est donc inutile d’en recevoir un (48 %) et le sentiment qu’il n’est « pas nécessaire » (43 %) de recevoir un autre vaccin. Au-delà de ces raisons, certains scénarios peuvent également influencer le désir de recevoir une troisième dose.

Figure 17. Veuillez expliquer pourquoi vous n’avez pas reçu une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 jusqu’à présent. [Question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=363) ]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 17. Veuillez expliquer pourquoi vous n’avez pas reçu une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 jusqu’à présent. [Question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=363) ]

     

Certains répondants ayant reçu deux doses pourraient recevoir une troisième dose dans certains scénarios

Les principaux scénarios qui, selon les répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19, les rendraient plus susceptibles de recevoir une troisième dose étaient les suivants : si la preuve d’une troisième dose était requise pour des activités comme les voyages (38 %); si un nouveau vaccin qui prévient mieux l’infection était disponible (36 %); et, si un nouveau variant qui cause une forme plus grave de la COVID-19 commençait à se propager (33%).

Figure 18. Dans quelle mesure chacun des scénarios hypothétiques suivants vous rendrait-il plus ou moins susceptible de recevoir une troisième dose d’un vaccin COVID-19 ?? [Question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=363) ]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 18. Dans quelle mesure chacun des scénarios hypothétiques suivants vous rendrait-il plus ou moins susceptible de recevoir une troisième dose d’un vaccin COVID-19 ?? [Question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=363) ]

     

Les trois quarts des répondants qui ont reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 ont l’intention d’en recevoir un quatrième

Les trois quarts (76 %) des répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 indiquent qu’il est probable qu’ils recevront une quatrième dose. Le nombre des personnes qui ont l’intention de recevoir une quatrième dose a légèrement diminué au fil du temps. Cependant, cela s’explique probablement par une augmentation du nombre des personnes qui ont reçu une quatrième dose. Depuis le début de la collecte de données en février, le nombre des personnes qui ont l’intention de recevoir une quatrième dose (parmi ceux qui en ont reçu trois) a été très supérieur au nombre des personnes qui ont l’intention de recevoir une troisième dose (parmi ceux qui en ont reçu deux).

Figure 19. Si une quatrième dose d’un vaccin contre la COVID-19 était disponible et recommandée pour vous, quelle serait la probabilité que vous la receviez? [Question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=898): ]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 19. Si une quatrième dose d’un vaccin contre la COVID-19 était disponible et recommandée pour vous, quelle serait la probabilité que vous la receviez? [Question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=898): ]

     

De nouveaux vaccins ou l’émergence d’un variant qui cause une forme plus grave motiveraient la prise d’une quatrième dose

Les principaux scénarios qui, selon les répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19, les rendraient plus susceptibles de recevoir une quatrième dose étaient les suivants : si un nouveau vaccin qui prévient mieux l’infection était disponible (77 %) ou ciblait les variants de la COVID-19 (74 % ); et, si un nouveau variant qui cause une forme plus grave de COVID-19 apparaissait (73 %).

Figure 20. Dans quelle mesure chacun des scénarios hypothétiques suivants vous rendrait plus ou moins susceptible de recevoir une quatrième dose d’un vaccin contre la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=898): ]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 20. Dans quelle mesure chacun des scénarios hypothétiques suivants vous rendrait plus ou moins susceptible de recevoir une quatrième dose d’un vaccin contre la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=898): ]

     

Les personnes qui ne sont pas encore vaccinées sont très peu susceptibles de se faire vacciner à l’avenir

La grande majorité des répondants non vaccinés (95 %) ont indiqué qu’ils ne prévoyaient pas se faire vacciner contre la COVID-19. Cette constatation a été constante au fil des vagues de collecte de données depuis février 2022.

Figure 21. Recevrez-vous un vaccin contre la COVID-19? [Question posée aux répondants qui n’ont pas reçu de doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=184) ]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 21. Recevrez-vous un vaccin contre la COVID-19? [Question posée aux répondants qui n’ont pas reçu de doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=184) ]

     

La majorité des répondants ne connaissent pas bien le terme « vaccins bivalents »

Plus de la moitié des répondants (54 %) ont indiqué qu’ils ne connaissaient pas du tout les vaccins bivalents contre la COVID-19. 21 % ont indiqué avoir entendu le terme mais ne savent pas de quoi il s’agit et 21 % ont indiqué qu’ils connaissaient un peu les vaccins bivalents. Seulement 5 % des répondants ont indiqué qu’ils connaissent très bien les vaccins bivalents.

Figure 22. Dans quelle mesure connaissez-vous bien les vaccins bivalents contre la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000) ]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 22. Dans quelle mesure connaissez-vous bien les vaccins bivalents contre la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000) ]

     

Un tiers des répondants ayant reçu deux doses disent qu’ils seraient susceptibles de recevoir un nouveau vaccin qui protège mieux contre les variants

Le nombre des personnes qui ont l’intention de recevoir un nouveau vaccin contre la COVID-19 qui protège mieux contre les variants de la COVID-19 variait considérablement en fonction du statut vaccinal. Un fort pourcentage des répondants non vaccinés (89 %) ont indiqué qu’il était peu probable qu’ils reçoivent un nouveau vaccin. 32 % des répondants qui ont reçu deux doses, 82 % de ceux qui ont reçu trois doses et 96 % de ceux qui ont reçu quatre doses ont indiqué qu’ils seraient susceptibles de recevoir un nouveau vaccin qui protège mieux contre les variants.

Figure 23. Si un nouveau vaccin qui protège mieux contre différents variants de la COVID-19 devient disponible et vous est recommandé, quelle est la probabilité que vous le receviez? [Question posée à tous les répondants (n=2 000) ]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 23. Si un nouveau vaccin qui protège mieux contre différents variants de la COVID-19 devient disponible et vous est recommandé, quelle est la probabilité que vous le receviez? [Question posée à tous les répondants (n=2 000) ]

     

La moitié des répondants prévoient se faire vacciner contre la grippe cette année

Un peu plus de la moitié des répondants (53 %) ont indiqué qu’ils seraient susceptibles de se faire vacciner contre la grippe au cours de la saison 2022-2023, tandis que 41 % ont indiqué qu’il était peu probable qu’ils le fassent. Le nombre des personnes qui ont l’intention de se faire vacciner contre la grippe variait considérablement en fonction du statut de vaccination contre la COVID-19. Seulement 3 % des répondants qui ne sont pas vaccinés contre la COVID-19 ont indiqué qu’il était probable qu’ils se fassent vacciner contre la grippe, tandis que 16 % de ceux qui ont reçu deux doses, 63 % de ceux qui ont reçu trois doses et 81 % de ceux qui ont reçu quatre doses ont indiqué qu’il était probable qu’ils se fassent vacciner contre la grippe.

Figure 24. Quelle est la probabilité que vous vous fassiez vacciner contre la grippe pendant la saison grippale 2022-2023? [Question posée à tous les répondants (n=2 000) ]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 24. Quelle est la probabilité que vous vous fassiez vacciner contre la grippe pendant la saison grippale 2022-2023? [Question posée à tous les répondants (n=2 000) ]

     

Vaccination pédiatrique

41% des parents d'enfants âgés de 12 à 17 ans ayant reçu deux doses ont l'intention d'administrer une troisième dose à leur enfant.

Parmi les parents d'enfants âgés de 12 à 17 ans ayant reçu deux doses du vaccin COVID-19, 41% ont indiqué qu'ils avaient l'intention d'administrer une troisième dose à leur enfant, soit immédiatement, soit après un certain temps. 36% ont indiqué qu'ils n'avaient pas l'intention d'administrer une troisième dose à leur enfant et 19% étaient incertains.

Figure 25. Si vous pensez à votre ou vos enfants âgés de 12 à 17 ans, recevront-ils une troisième dose du vaccin COVID-19 ? [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 12 à 17 ans ayant reçu deux doses d'un vaccin (n=121)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 25. Si vous pensez à votre ou vos enfants âgés de 12 à 17 ans, recevront-ils une troisième dose du vaccin COVID-19 ? [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 12 à 17 ans ayant reçu deux doses d'un vaccin (n=121)]

     

Les parents qui n’ont pas encore fait vacciner leurs enfants âgés de 5 à 11 ans n’ont pas l’intention de le faire

94% des parents qui n’ont pas encore fait vacciner leurs enfants âgés de 5 à 11 ans indiquent qu’ils n’ont pas l’intention de le faire.

Figure 26. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec l’énoncé suivant : Maintenant qu’un vaccin contre la COVID-19 est recommandé et disponible pour mon ou mes enfants âgés de 5 à 11 ans, je vais les faire vacciner. [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant non vacciné âgé de 5 à 11 ans (n=95) ]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 26. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec l’énoncé suivant : Maintenant qu’un vaccin contre la COVID-19 est recommandé et disponible pour mon ou mes enfants âgés de 5 à 11 ans, je vais les faire vacciner. [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant non vacciné âgé de 5 à 11 ans (n=95) ]

     

Les deux tiers des parents d’enfants âgés de 5 à 11 ans ayant reçu deux doses d’un vaccin ont l’intention de faire administrer une troisième dose à leurs enfants

65 % des parents qui ont déjà fait vacciner leurs enfants âgés de 5 à 11 ans ont l’intention de leur faire administrer une troisième dose, le plus tôt possible ou après un certain temps. 16 % des parents de ce groupe n’ont pas l’intention de faire administrer une troisième dose à leur enfant.

Figure 27. Votre ou vos enfants âgés de 5 à 11 ans recevront-ils une troisième dose d’un vaccin COVID-19 si cela est recommandé? [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 5 à 11 ans ayant reçu deux doses d’un vaccin (n=102)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 27. Votre ou vos enfants âgés de 5 à 11 ans recevront-ils une troisième dose d’un vaccin COVID-19 si cela est recommandé? [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 5 à 11 ans ayant reçu deux doses d’un vaccin (n=102)]

     

La moitié des parents n’ont pas l’intention de faire vacciner leurs enfants de moins de 5 ans

44% des parents d’enfants âgés de 6 mois à 4 ans ont indiqué qu’ils n’envisageaient pas de faire vacciner leur enfant. 42 % des parents d’enfants de cette tranche d’âge ont l’intention de faire vacciner leurs enfants âgés de 6 mois à 4 ans, le plus tôt possible ou après un certain temps. Entre les vagues 2.3 et 2.4, des vaccins ont été approuvés pour les enfants de ce groupe d’âge. Entre ces vagues, le pourcentage des parents qui n’ont pas l’intention de faire vacciner leurs enfants a diminué (de 52 % à 44 %). Cependant, le pourcentage de ceux qui ont l’intention de faire vacciner leurs enfants le plus tôt possible a également diminué (de 31 % à 25 %) et le nombre de ceux qui veulent attendre un peu a augmenté (de 8 % à 17 %).

Figure 28. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec l’énoncé suivant : Maintenant qu’un vaccin contre la COVID-19 est recommandé et disponible pour mes enfants âgés de 6 mois à 4 ans, je vais les faire vacciner.* [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 0 à 4 ans (n=153) * Cette question a été mise à jour dans la vague 2.4 en raison de l’approbation des vaccins pour les enfants de 6 mois à 4 ans. L’option S.O. a également été ajoutée dans la vague 2.4.]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 28. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec l’énoncé suivant : Maintenant qu’un vaccin contre la COVID-19 est recommandé et disponible pour mes enfants âgés de 6 mois à 4 ans, je vais les faire vacciner.* [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 0 à 4 ans (n=153) * Cette question a été mise à jour dans la vague 2.4 en raison de l’approbation des vaccins pour les enfants de 6 mois à 4 ans. L’option S.O. a également été ajoutée dans la vague 2.4.]

     

L’idée que la COVID-19 ne présente pas un risque élevé pour les enfants peut être un facteur qui explique le faible taux d’administration

Les principales raisons fournies par les parents qui étaient indécis ou opposés à la vaccination de leurs enfants de moins de 12 ans étaient les suivantes : L’idée que les vaccins ne sont pas nécessaires pour les enfants parce qu’ils ne risquent pas d’avoir des effets graves de la COVID-19 (63 %) L’idée que les risques des vaccins l’emportent sur leurs avantages (60 %) Croire qu’il n’y a pas eu assez de recherche ou d’essais (59 %) croire qu’il ne sert à rien de se faire vacciner car les vaccins n’arrêtent pas la propagation de la COVID-19 (59 %).

Figure 29. Parmi les options suivantes, quelles raisons décrivent le mieux la raison pour laquelle vous hésitez à faire vacciner votre ou vos enfants de moins de 12 ans contre la COVID-19? Veuillez sélectionner toutes les réponses pertinentes. [Question posée aux parents indécis ou opposés à la vaccination d’au moins un de leurs enfants de moins de 12 ans (n=140)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 29. Parmi les options suivantes, quelles raisons décrivent le mieux la raison pour laquelle vous hésitez à faire vacciner votre ou vos enfants de moins de 12 ans contre la COVID-19? Veuillez sélectionner toutes les réponses pertinentes. [Question posée aux parents indécis ou opposés à la vaccination d’au moins un de leurs enfants de moins de 12 ans (n=140)]

     

Les deux tiers des parents déclarent que leurs enfants ont eu la COVID-19

68 % des parents ont déclaré que leurs enfants avaient ou avaient probablement été infectés par la COVID-19 à un moment donné au cours de la pandémie. Dans le même ordre d’idées, 66 % des parents déclarent qu’ils ont ou ont probablement été eux-mêmes infectés, contre 44 % des répondants sans enfants à la maison.

Figure 30. L’un de vos enfants a-t-il été infecté par la COVID-19? [Question posée aux répondants qui ont au moins un enfant à la maison (n=455)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 30. L’un de vos enfants a-t-il été infecté par la COVID-19? [Question posée aux répondants qui ont au moins un enfant à la maison (n=455)]

     

Les inquiétudes concernant l’infection des enfants par la COVID-19 ont diminué au fil du temps

Les inquiétudes concernant l’infection des enfants par la COVID-19 ont diminué depuis le début de la collecte de données. En août, seuls 11 % des parents ont indiqué qu’ils étaient très ou extrêmement préoccupés par la possibilité que leurs enfants contractent la COVID-19, contre 25 % en février. 22 % des parents étaient quelque peu préoccupés et 67 % ont déclaré ne pas être du tout ou être légèrement préoccupés par la possibilité que leurs enfants contractent la COVID-19.

Figure 31. Dans quelle mesure craignez-vous que votre ou vos enfants contractent la COVID-19? [Question posée aux répondants qui ont au moins un enfant à la maison (n=455)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 31. Dans quelle mesure craignez-vous que votre ou vos enfants contractent la COVID-19? [Question posée aux répondants qui ont au moins un enfant à la maison (n=455)]

     

Sources d’information et confiance

Les sources d’information sur la COVID-19 qui inspirent le plus confiance sont les scientifiques et les travailleurs de la santé

La majorité des répondants font confiance (4 à 5 sur une échelle de 5) aux scientifiques (80 %), aux travailleurs de la santé (79 %) et aux autorités sanitaires internationales (66 %) comme source d’information sur la COVID-19. La confiance envers le gouvernement fédéral (62 %) et les gouvernements provinciaux/territoriaux (60 %) est également relativement élevée. Moins de la moitié des répondants interrogés ont déclaré faire confiance aux journaux et autres informations journalistiques et télévisées comme sources d’information sur la COVID-19. Il n’y a eu aucun changement significatif dans la confiance dans les sources d’information entre février et août 2022.

Figure 32. Dans quelle mesure faites-vous confiance ou vous méfiez-vous des sources d’information suivantes sur la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 32. Dans quelle mesure faites-vous confiance ou vous méfiez-vous des sources d’information suivantes sur la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Un répondant sur dix déclare suivre de très près l’actualité sur la COVID-19

Seuls 9 % des répondants de l’étude SICO ont déclaré avoir suivi de très près les informations sur la COVID-19 et 22 % ont déclaré les suivre d’assez près. Un quart des répondants ont déclaré ne pas suivre du tout les nouvelles concernant la COVID-19. Les répondants les plus âgés étaient plus susceptibles que les autres de déclarer avoir suivi l’actualité concernant la COVID-19.

Figure 33. À quel point, le cas échéant, avez-vous suivi de près les nouvelles sur la COVID-19 au cours du mois dernier? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 33. À quel point, le cas échéant, avez-vous suivi de près les nouvelles sur la COVID-19 au cours du mois dernier? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

La consommation de nouvelles sur la COVID-19 a diminué au fil du temps

La consommation d’informations sur la COVID-19 a diminué entre avril et juin 2022 et est restée relativement stable en août.

Figure 34. À quel point, le cas échéant, avez-vous suivi de près les nouvelles sur la COVID-19 au cours du mois dernier ? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 34. À quel point, le cas échéant, avez-vous suivi de près les nouvelles sur la COVID-19 au cours du mois dernier ? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Facebook et Youtube sont les plateformes des médias sociaux les plus utilisées

Les répondants étaient plus susceptibles de déclarer qu’ils utilisaient Facebook (49 %) et Youtube (38 %) « plusieurs fois par jour » ou « une fois par jour » que de déclarer qu’ils utilisaient les autres plateformes des médias sociaux. Les répondants les plus jeunes (18 à 34 ans) déclaraient utiliser plus fréquemment les plateformes des médias sociaux.

Figure 35. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous utilisé chacune des plateformes suivantes? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 35. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous utilisé chacune des plateformes suivantes? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

La moitié des répondants ont déclaré faire confiance au gouvernement du Canada

51 % des répondants ont déclaré faire entièrement ou modérément confiance au gouvernement fédéral canadien, tandis que 38 % ont déclaré éprouver une méfiance modérée ou totale. Les répondants âgés de 55 ans et plus étaient plus susceptibles de déclarer faire confiance au gouvernement fédéral (55 %) que ceux de moins de 55 ans (48 %). Les femmes ont déclaré lui faire plus confiance (56 %) que les hommes (45 %). Les répondants ayant fait des études universitaires ont déclaré des niveaux de confiance plus élevés (62 %) que ceux qui ont fait des études collégiales (48 %) ou secondaires (45 %). Les répondants de l’Alberta avoir déclaré une confiance plus faible (36 %) que celle des autres provinces.

Figure 36. Veuillez indiquer si, en général, vous faites confiance ou vous vous méfiez du gouvernement fédéral canadien. [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 36. Veuillez indiquer si, en général, vous faites confiance ou vous vous méfiez du gouvernement fédéral canadien. [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Connaissances et information erronée sur la COVID-19

La majorité des répondants ont évalué correctement la véracité des énoncés sur la COVID-19

La majorité des répondants ont évalué correctement les énoncés vrais sur la COVID-19 comme étant assez/très exacts. Cependant, certains répondants ont considéré les énoncés comme inexacts. Par exemple, 23 % des répondants ont indiqué que l’énoncé « les preuves actuelles portent à croire que la vaccination contre la COVID-19 n’a pas d’effet sur la fertilité masculine » est quelque peu ou très inexact.

Figure 37. À votre connaissance, dans quelle mesure les affirmations contenues dans chacun des énoncés suivants sont-elles exactes ou inexactes? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 37. À votre connaissance, dans quelle mesure les affirmations contenues dans chacun des énoncés suivants sont-elles exactes ou inexactes? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Une minorité de répondants ont indiqué que des énoncés faux sur la COVID-19 étaient exacts

Une minorité de répondants ont indiqué que les énoncés faux sur la COVID-19 étaient très exacts ou assez exacts. Ces pourcentages allaient de 3 % à 30 %, selon l’énoncé. Par exemple, 11 % des répondants ont qualifié l’énoncé suivant d’exact ou d’assez exact : « Les vaccins contre la COVID-19 ont été associés à des milliers de crises cardiaques chez les enfants. »

Figure 38. À votre connaissance, dans quelle mesure les affirmations contenues dans chacun des énoncés suivants sont-elles exactes ou inexactes? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 38. À votre connaissance, dans quelle mesure les affirmations contenues dans chacun des énoncés suivants sont-elles exactes ou inexactes? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

La majorité des répondants sont préoccupés par la propagation des informations erronées

Lors de la vague 2.4, 65 % des répondants ont déclaré être très ou extrêmement préoccupés par la propagation des informations erronées et de la désinformation en ligne. Les répondants les plus âgés (68 %) et ceux qui ont fait des études universitaires (70 %) étaient plus susceptibles de déclarer être très/extrêmement préoccupés.

Figure 39. Dans quelle mesure êtes-vous préoccupé par la propagation des informations erronées et de la désinformation en ligne (c’est-à-dire des informations d’actualité sur des sujets importants dont on peut vérifier qu’elles sont fausses)? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 39. Dans quelle mesure êtes-vous préoccupé par la propagation des informations erronées et de la désinformation en ligne (c’est-à-dire des informations d’actualité sur des sujets importants dont on peut vérifier qu’elles sont fausses)? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Santé mentale et bien-être

Les trois quarts des répondants sont satisfaits de leur vie

À la vague 2.4, 75 % des répondants ont déclaré être satisfaits de leur vie dans l’ensemble. 6 % n’étaient ni satisfaits ni insatisfaits et 19 % étaient insatisfaits. La satisfaction à l’égard de la vie a légèrement augmenté entre juin et août. Les répondants les plus jeunes (18 à 34 ans) ont déclaré une satisfaction à l’égard de la vie légèrement inférieure (69 %) à celle des personnes âgées de 35 à 54 ans (75 %) et des personnes âgées de 55 ans et plus (78 %).

Figure 40. Tout bien considéré, êtes-vous satisfait de votre vie dans son ensemble? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 40. Tout bien considéré, êtes-vous satisfait de votre vie dans son ensemble? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Les trois quarts des répondants déclarent être en bonne santé mentale et physique

74 % des répondants ont déclaré que leur santé mentale était excellente, très bonne ou bonne. Les répondants les plus jeunes étaient moins susceptibles de déclarer avoir une bonne santé mentale que les répondants les plus âgés. Les résidents de l’Ontario étaient également moins susceptibles de déclarer avoir une bonne santé mentale que ceux des autres provinces. 71 % des répondants ont déclaré que leur santé physique était excellente, très bonne ou bonne. Les femmes étaient légèrement moins susceptibles que les hommes de déclarer avoir une bonne santé physique.

Figure 41. En général, diriez-vous que votre santé mentale/physique est : [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 41. En général, diriez-vous que votre santé mentale/physique est : [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Les jeunes répondants sont plus susceptibles de signaler des indicateurs de bien-être négatifs

20% des répondants ont déclaré s’être sentis stressés la plupart du temps ou tout le temps au cours des deux dernières semaines. 20 % supplémentaires ont déclaré se sentir épuisés la plupart du temps ou tout le temps. Les répondants les plus jeunes et les femmes étaient plus susceptibles que les autres de déclarer avoir éprouvé ces indicateurs négatifs la plupart du temps ou tout le temps au cours des deux dernières semaines.

Figure 42. Au cours des deux dernières semaines, combien de fois vous êtes-vous senti… [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 42. Au cours des deux dernières semaines, combien de fois vous êtes-vous senti… [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Perspectives sur la pandémie et rétablissement

Un tiers des répondants ne savent pas si le pire de la crise est passé ou reste à venir

En août, il y a eu une diminution du pourcentage des répondants qui ont indiqué que le pire de la crise est derrière nous (47 %) par rapport à la vague de collecte de données précédente en juin (58 %). Il y a eu également une augmentation du pourcentage des répondants qui indiquent qu’ils ne savent pas si le pire est derrière nous ou à venir entre juin (22 %) et août (33 %). Comme lors des vagues de collecte de données précédentes, 10 % des répondants indiquent qu’ils ne considèrent pas la COVID-19 comme une crise. Les hommes (13 %) étaient plus susceptibles que les femmes (7 %) de dire que la COVID-19 n’est pas une crise. Les résidents de l’Alberta étaient également plus susceptibles que les résidents des autres provinces de penser que la COVID-19 n’est pas une crise.

Figure 43. À propos de la pandémie de COVID-19, pensez-vous que le pire est derrière nous ou à venir? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 43. À propos de la pandémie de COVID-19, pensez-vous que le pire est derrière nous ou à venir? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Le coût de la vie et les divisions sociétales sont les préoccupations principales

Les deux tiers des répondants de l’étude SICO (69 %) ont indiqué qu’ils étaient préoccupés par l’inflation ou l’augmentation du coût de la vie (contre 79 % en juin). Les répondants âgés de 55 ans et plus et les résidents de la Colombie-Britannique étaient moins susceptibles que les autres d’être préoccupés par l’inflation. 63 % ont indiqué qu’ils étaient préoccupés par l’augmentation des divisions et/ou des conflits dans la société. Les répondants âgés de 18 à 34 ans et les résidents de l’Alberta étaient plus susceptibles que les autres d’être préoccupés par l’augmentation des divisions dans la société.

Figure 44. En ce moment, à quel point vous préoccupez-vous des sujets suivants : [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 44. En ce moment, à quel point vous préoccupez-vous des sujets suivants : [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Les répondants restent préoccupés par la surcharge du système de santé

59 % des répondants déclarent être très ou extrêmement préoccupés par la surcharge du système de santé. Les répondants les plus âgés (66 %) et les femmes (67 %) étaient plus susceptibles que les autres d’être préoccupés par la surcharge du système de santé. 40 % des répondants étaient préoccupés par l’impact de la pandémie sur la santé mentale des Canadiens. Les répondants les plus âgés (30 %) et les hommes (36 %) étaient moins préoccupés que les autres par les répercussions sur la santé mentale.

Figure 45. À l’heure actuelle, dans quelle mesure êtes-vous préoccupé par les sujets suivants? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 45. À l’heure actuelle, dans quelle mesure êtes-vous préoccupé par les sujets suivants? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

La plupart des préoccupations liées à la COVID ont diminué au fil du temps

Au fil du temps, la plupart des préoccupations liées à la santé ont diminué. Cependant, entre juin et août, on observe une augmentation du pourcentage des répondants préoccupés par la surcharge du système de santé (de 52 % à 59 %).

Figure 46. À l’heure actuelle, dans quelle mesure êtes-vous préoccupés par les sujets suivants liés à la santé? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 46. À l’heure actuelle, dans quelle mesure êtes-vous préoccupés par les sujets suivants liés à la santé? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Les deux tiers des répondants s’attendent à une autre vague de cas de COVID-19

69 % des répondants de l’étude SICO pensent qu’il y aura une autre vague de cas de COVID-19 à l’automne ou à l’hiver. 11 % pensent qu’il n’y aura pas d’autre vague de COVID-19 et 20 % n’en sont pas sûrs. Les répondants âgés de 18 à 34 ans étaient moins susceptibles que les autres de penser qu’il y aura une autre vague (64 %), tout comme les répondants non vaccinés (41 %).

Figure 47. Pensez-vous qu’il y aura une autre vague de cas de COVID-19 à l’automne/hiver (septembre 2022-février 2023) ? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 47. Pensez-vous qu’il y aura une autre vague de cas de COVID-19 à l’automne/hiver (septembre 2022-février 2023) ? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Les répondants pensent que la prochaine vague sera aussi grave ou moins grave que les vagues précédentes

Parmi les répondants qui pensent qu’il y aura une autre vague de COVID-19 (69 % de l’échantillon), 34 % pensent que la prochaine vague sera moins grave que les vagues précédentes, 34 % pensent qu’elle sera à peu près aussi grave et 21 % n’en sont pas sûrs. 11 % pensent que la prochaine vague sera plus grave que les précédentes. Les hommes (39 %), les répondants âgés de 18 à 34 ans (41 %) et les résidents de l’Alberta (41 %) étaient plus susceptibles que les autres de penser que la prochaine vague sera moins grave.

Figure 48. Pensez-vous que la prochaine vague sera plus grave ou moins grave que les précédentes vagues de COVID-19? [Question posée aux répondants qui pensent qu’il y aura une autre vague de COVID à l’automne/hiver (n=1775)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 48. Pensez-vous que la prochaine vague sera plus grave ou moins grave que les précédentes vagues de COVID-19? [Question posée aux répondants qui pensent qu’il y aura une autre vague de COVID à l’automne/hiver (n=1775)]

     

Prochaines étapes

L’équipe des sciences du comportement d’Impact Canada utilisera une série d’analyses statistiques pour rechercher des tendances dans les données, ce qui nous permettra de répondre à des questions comme les suivantes :

  • Comment l’intention de se faire vacciner évolue-t-elle dans le temps?
  • En quoi les variations de la confiance aux sources d’information du gouvernement influent-elles au fil du temps sur l’intention de se faire vacciner?
  • En quoi les caractéristiques individuelles (p. ex., sexe, connaissances de base ou anxiété, état infectieux) entraînent-elles au fil du temps des changements de l’intention de se faire vacciner?
  • Comment les interactions entre le sexe et la confiance aux sources d’information du gouvernement influent-elles au fil du temps sur l’intention de se faire vacciner?

Nous sommes prêts, également, à passer à la deuxième phase de la collecte de données et à prolonger le projet dans l’année 2021!

Pour nous joindre

Pour en savoir plus ou pour explorer la possibilité de travailler avec nous, veuillez contacter l’Unité de l’impact et de l’innovation du Bureau du Conseil privé.

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