Vague 2.5

SICO Canada

La mise en œuvre de l’outil de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’analyse des comportements face à la COVID-19 au Canada.

Contexte

À l’appui des interventions du gouvernement fédéral, Impact Canada dirige la mise en place de l’outil de l’OMS pour l’analyse des comportements face à la COVID-19 au Canada. Ces travaux sont menés en collaboration avec l’équipe de la Recherche sur l’opinion publique du Secrétariat des communications et des consultations du Bureau du Conseil privé (BCP), qui aide le Cabinet du premier ministre à coordonner les communications du gouvernement conformément aux grandes priorités.

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Méthode

Avec un modèle longitudinal, l'étude suit 2 000 participants recrutés dans un comité en ligne sur seize vagues de collecte de données. De nouveaux participants sont ajoutés uniquement lorsqu'un panéliste initial cesse de participer.

Les répondants constituent un échantillon représentatif de Canadiens âgés de 18 ans et plus et les résultats sont pondérés à l'aide des données du recensement de 2016 de Statistique Canada afin de refléter la distribution de la population au Canada.

Aperçus clés

Proximité de la COVID-19 et mesures de santé publique : En octobre, 54 % des répondants ont déclaré avoir été – ou avoir probablement été – infectés par la COVID-19 à un moment ou l’autre de la pandémie (contre 31 % en juin et 49 % en août). Moins de la moitié des répondants ont déclaré appliquer souvent ou toujours des mesures de santé publique telles que le port d’un masque lorsqu’il n’est pas obligatoire (31 % en octobre, contre 40 % en août), des mesures visant à améliorer la qualité de l’air (34 % en octobre, contre 40 % en août) et l’évitement de lieux et d’événements publics (28 % en octobre, contre 37 % en août). Plus d’un quart des répondants ayant présenté des symptômes de la COVID-19 ont déclaré ne jamais s’être absentés du travail ou de l’école pendant qu’ils étaient malades.

Vaccination chez l’adulte : Deux tiers des répondants qui ont été vaccinés il y a plus de six mois se considèrent à jour en ce qui concerne les vaccins contre la COVID-19. Dans le même ordre d’idées, plus de la moitié des répondants ayant reçu deux doses se considèrent comme étant à jour. Seulement 30 % des répondants pensent qu’il est réaliste pour les Canadiens de se faire vacciner contre la COVID-19 tous les six mois, tandis que 46 % pensent qu’il est réaliste pour les Canadiens de se faire vacciner une fois par année.

Vaccination pédiatrique : Parmi les parents qui n’ont pas encore fait vacciner leurs enfants âgés de 0 à 4 ans (18 % des répondants de l’étude SICO ont fait administrer au moins une dose), 51 % n’ont pas l’intention de faire vacciner leurs enfants, 23 % veulent attendre un peu et 17 % veulent faire vacciner leurs enfants le plus tôt possible. Les inquiétudes des parents concernant l’infection de leurs enfants par la COVID-19 ont diminué au fil du temps (29 % ont déclaré être quelque peu, très ou extrêmement préoccupés en octobre, contre 40 % en février).

Sources d’information et confiance : La confiance à l’égard des sources d’information sur la COVID-19 n’a pas beaucoup changé depuis le début de la collecte des données : 53 % des répondants ont déclaré faire entièrement ou modérément confiance au gouvernement du Canada, tandis que 38 % ont déclaré éprouver une méfiance modérée ou totale. La consommation d’informations sur la COVID-19 a diminué entre avril et juin 2022 et est restée relativement stable en août et en octobre.

Connaissances et information erronée sur la COVID-19 : Une grande partie des répondants a fait part d’incertitude quant à l’exactitude des affirmations vraies sur la COVID-19 – ce qui laisse entendre qu’il y a des lacunes dans la connaissance des renseignements sur la COVID-19. Une minorité de répondants a indiqué que les fausses affirmations sur la COVID-19 étaient « très exactes » ou « plutôt exactes ». Ces pourcentages allaient de 5 % à 18 %, selon l’affirmation.

Santé mentale et mieux-être : La satisfaction à l’égard de la vie a légèrement diminué entre août et octobre. Les répondants les plus jeunes (18 à 34 ans) étaient moins nombreux à se déclarer satisfaits de leur vie que les répondants plus âgés, et ils présentaient de moins bons indicateurs de santé mentale.

Perspectives sur la pandémie et rétablissement : Plus de la moitié de l’échantillon (59 %) estime que le pire de la crise de la COVID-19 est derrière nous. Un tiers pense que la vie quotidienne ressemble actuellement à la période prépandémique. Au fil du temps, la plupart des préoccupations des répondants liées à la santé ont diminué, à l’exception des préoccupations liées à la surcharge des systèmes de santé, qui ont augmenté. Comparativement aux inquiétudes liées à la COVID-19, les inquiétudes au sujet de l’inflation, des divisions croissantes au sein de la société et des changements climatiques sont devenues plus prioritaires.


Considérations

Collecte des données : du 5 au 26 octobre 2022  

Taille de l’échantillon : 2 000

Lorsqu’on interprète les résultats de l’étude de Surveillance instantanée COVID-19 (SICO), il est utile de garder à l’esprit le contexte de la période de collecte de données, qui peut avoir influé sur les réponses des participants à l’étude. Avant et pendant la période de collecte de données de la vague 2.5 :

  • La plupart des Canadiens étaient vaccinés au moment du sondage. En date du 9 octobre 2022, environ 90 % de la population canadienne de 18 ans et plus avait reçu au moins une dose d’un vaccin contre la COVID-19, 89 % au moins deux doses, 59 % au moins trois doses et 18 % au moins quatre doses.
  • Parmi les enfants de 12 à 17 ans, 85 % avaient reçu au moins une dose, 81 % au moins deux doses et 17 % trois doses. Parmi les enfants de 5 à 11 ans, 54 % avaient reçu au moins une dose, 42 % au moins deux doses et 4 % trois doses. Au moins 7 % des enfants de quatre ans et moins avaient reçu une dose et 1 % deux doses.
  • Le 7 octobre, Santé Canada a autorisé le vaccin bivalent Pfizer contre la COVID-19 ciblant les sous-variants Omicron BA.4/BA.5. Le vaccin bivalent Moderna ciblant le sous-variant Omicron BA.1 a été approuvé au début septembre.
  • Le 1er octobre, la plupart des restrictions de voyage imposées par le gouvernement fédéral, telles que les tests et les exigences en matière de vaccins et de masques, ont été levées.

Proximité de la COVID-19 et mesures de santé publique

La moitié des répondants déclarent avoir été infectés par la COVID-19 à un moment ou un autre

Dans le cadre de la vague 2.5, 54 % des répondants ont déclaré avoir été – ou avoir probablement été – infectés par la COVID-19 à un moment ou un autre de la pandémie (contre 49 % dans le cadre de la vague 2.4). Le pourcentage des répondants qui ont déclaré ne pas avoir été infectés par la COVID-19 est passé de 69 % en février à 41 % en août. Les répondants non vaccinés (74 %) et les répondants de l’Alberta (60 %) étaient plus susceptibles d’avoir été infectés par la COVID-19. Les répondants âgés de 55 ans et plus étaient moins susceptibles (38 %) de déclarer avoir été infectés.

Figure 1. Êtes-vous ou avez-vous été infecté par la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 1. Êtes-vous ou avez-vous été infecté par la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Un répondant sur cinq connaissait une personne décédée de la COVID-19

19 % des répondants ont déclaré connaître personnellement une personne décédée de la COVID-19. Les répondants âgés de 18 à 34 ans étaient moins susceptibles de connaître une personne décédée de la COVID-19 (15 %) que ceux âgés de 35 à 54 ans (19 %) et ceux âgés de 55 ans et plus (22 %). Les résidents du Manitoba et de la Saskatchewan étaient plus susceptibles de connaître une personne décédée (28 %) par rapport à la moyenne nationale. Ceux de l’Ontario (16 %) et du Canada atlantique (16 %) étaient moins susceptibles de connaître une personne décédée de la COVID-19.

Figure 2. Connaissiez-vous personnellement quelqu’un qui est décédé de la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 2. Connaissiez-vous personnellement quelqu’un qui est décédé de la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Un tiers des répondants ont subi un test de dépistage de la COVID-19 au cours du dernier mois

Dans le cadre de la vague 2.5, 30 % des répondants ont déclaré avoir subi un test de dépistage de la COVID-19 au cours du mois précédent, soit un test rapide (27 %) ou un test PCR (3 %). 15 % des répondants ont déclaré avoir fait subir un test rapide à quelqu’un d’autre au cours du mois précédent. Les pratiques de dépistage ont été assez stables entre juin et octobre.

Figure 3. Au cours des quatre dernières semaines, avez-vous… [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 3. Au cours des quatre dernières semaines, avez-vous… [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Les pratiques de dépistage varient selon les provinces

Les répondants de l’Ontario (30 %) et du Canada atlantique (32 %) étaient plus susceptibles de déclarer avoir utilisé un test rapide au cours du dernier mois, tandis que les répondants du Manitoba et de la Saskatchewan (20 %) et de la Colombie-Britannique (22 %) étaient moins susceptibles d’avoir subi un test.

Figure 4. Au cours des quatre dernières semaines, avez-vous subi un test de dépistage rapide? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 4. Au cours des quatre dernières semaines, avez-vous subi un test de dépistage rapide? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Les symptômes ou le contact avec une personne présentant des symptômes de la COVID sont des raisons courantes d’utiliser des tests rapides

La majorité des répondants (61 %) qui ont utilisé un test rapide au cours des quatre dernières semaines l’ont fait parce qu’ils présentaient des symptômes de la COVID-19. 28 % ont subi un test après avoir été exposés à quelqu’un qui avait probablement contracté la COVID-19. Un pourcentage plus faible de répondants a effectué un test avant d’assister à un rassemblement, d’interagir avec une personne à risque élevé ou de se rendre au travail, à l’école ou dans un établissement de soins de longue durée.

Figure 5. Vous avez indiqué avoir effectué un test rapide au cours des quatre dernières semaines. Pourquoi avez-vous fait un ou plusieurs tests? [Question posée aux répondants ayant subi un test rapide au cours du dernier mois (n=542)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 5. Vous avez indiqué avoir effectué un test rapide au cours des quatre dernières semaines. Pourquoi avez-vous fait un ou plusieurs tests? [Question posée aux répondants ayant subi un test rapide au cours du dernier mois (n=542)]

     

Les pharmacies sont le lieu le plus courant pour se procurer des tests rapides

La moitié des personnes ayant utilisé un test rapide au cours du dernier mois ont indiqué l’avoir obtenu en pharmacie. D’autres répondants ont obtenu leur test rapide dans un magasin de détail (18 %), auprès d’un ami ou d’un membre de la famille (12 %), dans un centre de distribution provincial ou municipal (10 %), dans une école (7 %) ou par l’intermédiaire de leur employeur (6 %). Les points d’accès varient selon les provinces.

Figure 6. Vous avez indiqué avoir effectué un test rapide au cours des quatre dernières semaines. Comment vous êtes-vous procuré ce test rapide? [Question posée aux répondants ayant subi un test rapide au cours du dernier mois (n=542)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 6. Vous avez indiqué avoir effectué un test rapide au cours des quatre dernières semaines. Comment vous êtes-vous procuré ce test rapide? [Question posée aux répondants ayant subi un test rapide au cours du dernier mois (n=542)]

     

Les points d’accès au test rapide varient considérablement selon les provinces

Les points d’accès au test rapide variaient selon la province, les répondants de la Colombie-Britannique (68 %), de l’Alberta (70 %) et du Québec (77 %) ayant indiqué en grand nombre qu’ils accédaient aux tests dans les pharmacies, contre 34 % en Ontario, 14 % au Manitoba et en Saskatchewan et 6 % dans la région de l’Atlantique. Les résidents du Manitoba et de la Saskatchewan (28 %) et de l’Ontario (38 %) étaient beaucoup plus susceptibles que les autres provinces d’obtenir leurs tests rapides dans des magasins de détail. Les résidents de l’Alberta (20 %), du Manitoba et de la Saskatchewan (21 %) étaient plus susceptibles d’obtenir leurs tests rapides par l’intermédiaire de la famille et des amis que ceux des autres provinces. Les résidents de la région de l’Atlantique étaient les plus susceptibles d’obtenir leurs tests rapides dans des centres de distribution provinciaux ou municipaux.

Figure 7. Vous avez indiqué avoir effectué un test rapide au cours des quatre dernières semaines. Comment vous êtes-vous procuré ce test rapide? [Question posée aux répondants ayant subi un test rapide au cours du dernier mois (n=542)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 7. Vous avez indiqué avoir effectué un test rapide au cours des quatre dernières semaines. Comment vous êtes-vous procuré ce test rapide? [Question posée aux répondants ayant subi un test rapide au cours du dernier mois (n=542)]

     

Le respect des mesures de santé publique est faible

Moins de la moitié des répondants ont déclaré prendre souvent ou toujours des mesures de santé publique telles que le port d’un masque lorsqu’il n’est pas obligatoire (31 %), des mesures visant à améliorer la qualité de l’air (35 %) et l’évitement de lieux et d’événements publics (28 %). Les répondants âgés de 55 ans et plus et les femmes étaient plus susceptibles que les autres de déclarer prendre souvent ou toujours des mesures de santé publique. Les répondants les plus jeunes, les hommes et les résidents de l’Alberta étaient moins susceptibles que les autres de déclarer prendre ces mesures. La proportion relativement faible de répondants qui prennent volontairement des mesures de santé publique représente le dernier point de données d’une tendance à la baisse au fil du temps.

Figure 8. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour prévenir la propagation de la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 8. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour prévenir la propagation de la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Le respect des mesures de santé publique a diminué au fil du temps

En général, la proportion de répondants qui déclarent prendre souvent ou toujours des mesures de santé publique a diminué au fil du temps. Par exemple, 57 % des répondants ont déclaré en avril porter souvent ou toujours un masque lorsque celui-ci n’est pas obligatoire, comparativement à 31 % en octobre.

Figure 9. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour prévenir la propagation de la COVID-19? [Pourcentage de répondants ayant répondu « souvent » ou « toujours », Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 9. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour prévenir la propagation de la COVID-19? [Pourcentage de répondants ayant répondu « souvent » ou « toujours », Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

La plupart des personnes qui portent un masque n’utilisent pas de masques de type respiratoire

Parmi les répondants ayant déclaré porter parfois, souvent ou toujours un masque au cours du dernier mois (79 % de l’échantillon), 58 % ont déclaré porter des masques d’intervention ou chirurgicaux, 24 % ont déclaré porter des masques non médicaux et 19 % ont déclaré porter des masques respiratoires. Alors que les répondants âgés de 55 ans et plus ont déclaré plus souvent que les autres porter des masques dans des endroits où ce n’était pas obligatoire (44 % ont déclaré porter souvent ou toujours un masque), seuls 19 % ont déclaré porter des masques de type respiratoire.

Figure 10. Lequel des types de masques suivants portez-vous le plus souvent? [Question posée aux répondants ayant parfois, souvent ou toujours porté un masque au cours du dernier mois (n=1559)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 10. Lequel des types de masques suivants portez-vous le plus souvent? [Question posée aux répondants ayant parfois, souvent ou toujours porté un masque au cours du dernier mois (n=1559)]

     

Un tiers des répondants ont déclaré avoir présenté des symptômes de la COVID-19 au cours du dernier mois

29 % des répondants ont déclaré avoir ressenti des symptômes de la COVID-19 au cours du dernier mois. Ce chiffre était plus faible chez les 55 ans et plus (18 %) et plus élevé chez les 35 à 54 ans (32 %) et les 18 à 34 ans (40 %).

Figure 11. Au cours du dernier mois, avez-vous ressenti des symptômes de la COVID-19 (p. ex., fièvre, toux, mal de gorge ou écoulement nasal)? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 11. Au cours du dernier mois, avez-vous ressenti des symptômes de la COVID-19 (p. ex., fièvre, toux, mal de gorge ou écoulement nasal)? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Plus d’un quart des répondants présentant des symptômes de la COVID-19 ont déclaré ne jamais s’être absentés du travail ou de l’école

Parmi les répondants qui ont déclaré avoir ressenti des symptômes de la COVID-19 au cours du dernier mois, 32 % se sont toujours absentés du travail ou de l’école lorsqu’ils étaient malades et 19 % sont parfois restés à la maison. 30 % ont déclaré qu’ils s’isolaient toujours lorsqu’ils étaient malades. 22 % ont déclaré qu’ils portaient toujours un masque lorsqu’ils partageaient un espace avec d’autres personnes (y compris les membres de leur foyer) et 13 % se sont isolés des membres de leur foyer lorsqu’ils étaient malades.

Figure 12. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures de santé suivantes lorsque vous ressentiez des symptômes de la COVID-19? [Répondants qui ont été malades et ont ressenti des symptômes de la COVID-19 au cours du dernier mois (n=650)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 12. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures de santé suivantes lorsque vous ressentiez des symptômes de la COVID-19? [Répondants qui ont été malades et ont ressenti des symptômes de la COVID-19 au cours du dernier mois (n=650)]

     

Deux tiers des personnes ayant ressenti des symptômes de la COVID-19 ont déclaré avoir utilisé un test rapide au cours du dernier mois

Parmi les répondants qui ont déclaré avoir ressenti des symptômes de la COVID-19 au cours du dernier mois, 64 % ont déclaré avoir utilisé un test rapide, contre 15 % des personnes qui n’avaient aucun symptôme.

Figure 13. Au cours des quatre dernières semaines, avez-vous... [Répondants ayant été malades et ayant présenté des symptômes de la COVID-19 au cours du dernier mois (n=588) et répondants n’ayant présenté aucun symptôme (n=1 350)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 13. Au cours des quatre dernières semaines, avez-vous... [Répondants ayant été malades et ayant présenté des symptômes de la COVID-19 au cours du dernier mois (n=588) et répondants n’ayant présenté aucun symptôme (n=1 350)]

     

La participation à des rassemblements, événements et voyages a augmenté au fil du temps

En général, la participation à des rassemblements, événements et voyages a augmenté d’une vague à l’autre entre février et juin et est demeurée relativement stable entre juin et octobre. Les répondants les plus âgés et les femmes étaient moins susceptibles de déclarer avoir participé aux activités énumérées. Par exemple, 75 % des répondants âgés de 55 ans et plus ont déclaré rendre visite à leur famille et à leurs amis à l’intérieur, contre 83 % en moyenne.

Figure 14. Au cours des deux dernières semaines, avez-vous... [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 14. Au cours des deux dernières semaines, avez-vous... [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Plus de la moitié seraient favorables au rétablissement de nombreuses mesures de santé publique, si nécessaire

La majorité des répondants de l’étude SICO ont indiqué qu’ils soutiendraient l’adoption ou le rétablissement de nombreuses mesures de santé publique si elles s’avéraient nécessaires. Les mesures les plus soutenues comprenaient le port du masque (66 %), la preuve de vaccination (55-57 %) et la limitation des rassemblements (54 %). Les mesures auxquelles ils s’opposaient le plus étaient les fermetures d’entreprises (61 % d’opposition), les fermetures d’écoles/garderies (49 %) et le confinement à la maison (51 %). Les répondants âgés de 55 ans et plus et les femmes étaient beaucoup plus susceptibles de soutenir l’hypothétique rétablissement des mesures.

Figure 15. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 15. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Au fil du temps, le soutien au rétablissement des mesures de santé publique si nécessaire a progressivement diminué.

Au fil du temps, le soutien au rétablissement des mesures de santé publique si nécessaire a progressivement diminué pour la plupart des mesures.

Figure 16. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous? [Pourcentage d’appui; Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 16. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous? [Pourcentage d’appui; Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Au fil du temps, le soutien au rétablissement de l’exigence d’une preuve de vaccination a diminué, mais reste élevé.

Au fil du temps, le soutien au rétablissement de l’exigence d’une preuve de vaccination a diminué. Cependant, une majorité de répondants continuent d’indiquer qu’ils soutiendraient les exigences relatives aux vaccins si nécessaire pour répondre à une flambée de COVID-19. Le soutien de l’obligation de fournir une preuve de vaccination varie considérablement selon le statut vaccinal des répondants : ceux qui ont reçu le moins de doses sont les moins favorables à ces mesures.

Figure 17. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous? [Question posée à tous les répondants (n=2 000); Pourcentage d’appui]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 17. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous? [Question posée à tous les répondants (n=2 000); Pourcentage d’appui]

     

Plus de la moitié des répondants indiquent qu’ils ne porteront jamais ou presque de masque pour des raisons autres que la COVID-19

Un tiers des répondants (32 %) ont indiqué qu’ils ne porteraient jamais de masque en public pour des raisons autres que la COVID-19. Un pourcentage similaire (36 %) de répondants a déclaré n’avoir jamais porté de masque en raison de la COVID-19 au cours du dernier mois (36 %). Un peu moins de la moitié des répondants (48 %) ont déclaré qu’ils porteraient parfois, souvent ou toujours un masque pour des raisons autres que la COVID-19. Les répondants âgés de 55 ans et plus et les femmes étaient plus susceptibles de déclarer qu’ils porteraient souvent ou toujours un masque.

Figure 18. À l’avenir, à quelle fréquence porterez-vous un masque en public pour des raisons autres que la COVID-19 (p. ex., pendant la saison du rhume et de la grippe)? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 18. À l’avenir, à quelle fréquence porterez-vous un masque en public pour des raisons autres que la COVID-19 (p. ex., pendant la saison du rhume et de la grippe)? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Vaccination chez l’adulte

Au fil du temps, le nombre de personnes ayant l’intention de recevoir une troisième dose a diminué

Dans le cadre de la vague 2.5, 20 % des répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 ont indiqué qu’ils recevraient probablement une troisième dose. Au fil du temps, le nombre de personnes ayant l’intention de recevoir une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 a diminué, passant de 39 % en février à 20 % en octobre, tandis que le taux d’administration de la troisième dose n’a pas augmenté de manière significative.

Figure 19. Si une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 était disponible et vous était recommandée, dans quelle mesure seriez-vous susceptible de la recevoir? [Question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=365)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 19. Si une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 était disponible et vous était recommandée, dans quelle mesure seriez-vous susceptible de la recevoir? [Question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=365) ]

     

Certains répondants ayant reçu deux doses seraient plus susceptibles de recevoir une troisième dose dans certaines circonstances

Les principaux scénarios qui, selon les répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19, les rendraient plus susceptibles de recevoir une troisième dose étaient les suivants : si une preuve d’une troisième dose était requise pour des activités comme les voyages (39 %); si un nouveau variant causant une forme plus grave de la COVID-19 commençait à se propager (34 %) et si un nouveau vaccin prévenant mieux l’infection était disponible (32 %).

Figure 20. Dans quelle mesure chacun des scénarios hypothétiques suivants vous rendrait-il plus ou moins susceptible de recevoir une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=365)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 20. Dans quelle mesure chacun des scénarios hypothétiques suivants vous rendrait-il plus ou moins susceptible de recevoir une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=365) ]

     

Les trois quarts des répondants qui ont reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 ont l’intention d’en recevoir une quatrième

Les trois quarts (73 %) des répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 indiquent qu’il est probable qu’ils recevront une quatrième dose. Le nombre de personnes ayant l’intention de recevoir une quatrième dose a légèrement diminué au fil du temps. Cependant, cela s’explique probablement par une augmentation du nombre de personnes qui ont reçu une quatrième dose. Depuis le début de la collecte de données en février, le nombre de personnes ayant l’intention de recevoir une quatrième dose (parmi celles qui en ont reçu trois) a été très supérieur au nombre de personnes ayant l’intention de recevoir une troisième dose (parmi celles qui en ont reçu deux).

Figure 21. Si une quatrième dose d’un vaccin contre la COVID-19 était disponible et vous était recommandée, dans quelle mesure seriez-vous susceptible de la recevoir? [Question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=898)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 21. Si une quatrième dose d’un vaccin contre la COVID-19 était disponible et vous était recommandée, dans quelle mesure seriez-vous susceptible de la recevoir? [Question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=898) : ]

     

De nouveaux vaccins ou l’émergence d’un variant causant une forme plus grave motiveraient la prise d’une quatrième dose

Les principaux scénarios qui, selon les répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19, les rendraient plus susceptibles de recevoir une quatrième dose étaient les suivants : si un nouveau variant causant une forme plus grave de la COVID-19 émergeait (73 %) et si un nouveau vaccin prévenant mieux l’infection (73 %) ou ciblant mieux les variants de la COVID-19 (66 %) était disponible.

Figure 22. Dans quelle mesure chacun des scénarios hypothétiques suivants vous rendrait-il plus ou moins susceptible de recevoir une quatrième dose d’un vaccin contre la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=688)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 22. Dans quelle mesure chacun des scénarios hypothétiques suivants vous rendrait-il plus ou moins susceptible de recevoir une quatrième dose d’un vaccin contre la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 (n=688) : ]

     

Plus de la moitié des personnes ayant reçu deux doses se considèrent comme étant à jour en ce qui concerne les vaccins contre la COVID-19.

Plus de la moitié des répondants ayant reçu deux doses se considéraient à jour en ce qui concerne les vaccins contre la COVID-19 tandis que 12 % étaient incertains. Parmi ceux ayant reçu trois doses, 68 % se considéraient comme à jour en ce qui concerne les vaccins, même si, pour la plupart, quatre doses avaient été recommandées au moment de la collecte des données.

Figure 23. Considérez-vous que vous êtes à jour en ce qui concerne vos vaccins contre la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant reçu au moins une dose d’un vaccin contre la COVID-19 (n=1 813)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 23. Considérez-vous que vous êtes à jour en ce qui concerne vos vaccins contre la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant reçu au moins une dose d’un vaccin contre la COVID-19 (n=1 813) ]

     

Les deux tiers des personnes qui ont été vaccinées il y a plus de 6 mois se considèrent comme étant à jour

Lorsqu’on leur a demandé s’ils se considéraient comme à jour dans leurs vaccins contre la COVID-19, 65 % des personnes ayant reçu leur plus récent vaccin contre la COVID-19 il y a plus de six mois disaient être à jour dans leurs vaccins. Les personnes qui ont reçu leur plus récent vaccin contre la COVID-19 au cours des six derniers mois sont très susceptibles de se considérer comme étant à jour.

Figure 24. Question posée aux répondants ayant reçu au moins une dose d’un vaccin contre la COVID-19 (n=1 813) [Considérez-vous que vous êtes à jour en ce qui concerne vos vaccins contre la COVID-19?]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 24. Question posée aux répondants ayant reçu au moins une dose d’un vaccin contre la COVID-19 (n=1 813) [Considérez-vous que vous êtes à jour en ce qui concerne vos vaccins contre la COVID-19?]

     

Un plus grand nombre de personnes pensent qu’il est réaliste pour les Canadiens de recevoir un vaccin contre la COVID-19 une fois par an plutôt que tous les six mois

Au moyen d’une approche d’échantillon fractionné, on a demandé à la moitié des répondants s’il était réaliste pour les Canadiens de se faire vacciner tous les six mois, et à l’autre moitié s’il était réaliste pour les Canadiens de se faire vacciner tous les ans. 46 % des répondants pensaient qu’il était plutôt réaliste ou extrêmement réaliste de s’attendre à ce que la plupart des Canadiens se fassent vacciner contre la COVID-19 une fois par an, contre 30 % qui pensaient qu’une vaccination tous les six mois était réaliste. Ceux qui n’étaient pas vaccinés (3 %) ou qui avaient reçu deux doses (15 %) étaient beaucoup moins susceptibles de dire qu’il était réaliste de s’attendre à ce que la plupart des Canadiens se fassent vacciner contre la COVID-19 tous les six mois, comparativement à ceux qui avaient reçu trois doses (29 %) ou quatre (46 %).

Figure 25. En ce qui concerne les prochaines années, dans quelle mesure est-il réaliste de s’attendre à ce que la plupart des Canadiens choisissent de recevoir une dose de rappel contre la COVID-19 [tous les six mois ou une fois par an]? [Question posée à tous les répondants : la moitié a été interrogée sur une vaccination tous les six mois (n=1 000), l’autre moitié sur une vaccination tous les ans (n=1 000).]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 25. En ce qui concerne les prochaines années, dans quelle mesure est-il réaliste de s’attendre à ce que la plupart des Canadiens choisissent de recevoir une dose de rappel contre la COVID-19 [tous les six mois ou une fois par an]? [Question posée à tous les répondants : la moitié a été interrogée sur une vaccination tous les six mois (n=1 000), l’autre moitié sur une vaccination tous les ans (n=1 000).]

     

Un tiers des répondants pensent que les vaccins bivalents sont plus efficaces que les vaccins originaux contre la COVID-19

36 % des répondants pensent que les vaccins contre la COVID-19 ciblant le variant Omicron (vaccins bivalents) sont beaucoup ou quelque peu plus efficaces que les vaccins ciblant la souche originelle de la COVID-19. 40 % pensent que les nouveaux vaccins sont aussi efficaces que les vaccins originaux. 6 % pensent que les nouveaux vaccins sont moins efficaces et 18 % pensent que les deux types de vaccins sont pareillement inefficaces.

Figure 26. Pensez-vous que les nouveaux vaccins contre la COVID-19 ciblant le variant Omicron sont plus ou moins efficaces que les vaccins antérieurs ciblant la souche originelle de la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 26. Pensez-vous que les nouveaux vaccins contre la COVID-19 ciblant le variant Omicron sont plus ou moins efficaces que les vaccins antérieurs ciblant la souche originelle de la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

La moitié des répondants ayant reçu deux doses pensent que les vaccins bivalents sont moins efficaces ou aussi inefficaces que les vaccins originaux

Les perceptions sur l’efficacité des vaccins bivalents variaient considérablement selon le statut vaccinal des répondants. La grande majorité des répondants non vaccinés (88 %) pensent que les nouveaux vaccins sont moins efficaces ou aussi inefficaces que les vaccins originaux contre la COVID-19. Les répondants ayant reçu deux doses étaient divisés quant à l’efficacité des vaccins bivalents, 53 % indiquant qu’ils étaient aussi ou plus efficaces que les vaccins originaux et 57 % affirmant qu’ils étaient moins efficaces ou aussi inefficaces. Une grande majorité des répondants ayant reçu trois doses ou plus ont indiqué que les vaccins bivalents étaient aussi ou plus efficaces que les vaccins originaux.

Figure 27. Pensez-vous que les nouveaux vaccins contre la COVID-19 ciblant le variant Omicron sont plus ou moins efficaces que les vaccins antérieurs ciblant la souche originelle de la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 27. Pensez-vous que les nouveaux vaccins contre la COVID-19 ciblant le variant Omicron sont plus ou moins efficaces que les vaccins antérieurs ciblant la souche originelle de la COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Seulement 8 % des répondants disent qu’il est difficile d’avoir accès aux vaccins dans leur région

La plupart des répondants ont indiqué qu’il était très facile (58 %) ou plutôt facile (24 %) d’avoir accès aux vaccins dans leur région. Les répondants vivant dans de petites villes ou des zones rurales étaient légèrement plus susceptibles de dire qu’il était difficile d’avoir accès aux vaccins dans leur région (10 %) que ceux vivant dans une grande ville (6 %) ou une banlieue (6 %).

Figure 28. Dans quelle mesure est-il facile ou difficile pour vous d’avoir accès aux vaccins contre la COVID-19 dans votre région? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 28. Dans quelle mesure est-il facile ou difficile pour vous d’avoir accès aux vaccins contre la COVID-19 dans votre région? [Question posée à tous les répondants (n=2 000) ]

     

Moins de la moitié des répondants prévoient se faire vacciner contre la grippe cette année

Un peu moins de la moitié des répondants (44 %) ont indiqué qu’ils étaient susceptibles de se faire vacciner contre la grippe, ou qu’ils avaient déjà reçu ce vaccin, au cours de la saison 2022-2023, tandis que 51 % ont indiqué qu’il était peu probable qu’ils le fassent. Le nombre des personnes qui ont l’intention de se faire vacciner contre la grippe variait considérablement en fonction du statut de vaccination contre la COVID-19. Seulement 6 % des répondants qui ne sont pas vaccinés contre la COVID-19 ont indiqué qu’ils étaient susceptibles de se faire vacciner contre la grippe, tandis que 17 % des personnes qui ont reçu deux doses, 59 % des personnes qui ont reçu trois doses, 80 % des personnes qui ont reçu quatre doses et 83 % des personnes qui ont reçu cinq doses ont indiqué qu’elles étaient susceptibles de se faire vacciner contre la grippe ou qu’elles s’étaient déjà fait vacciner.

Figure 29. Dans quelle mesure êtes-vous susceptible de vous faire vacciner contre la grippe pendant la saison grippale 2022-2023? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 29. Dans quelle mesure êtes-vous susceptible de vous faire vacciner contre la grippe pendant la saison grippale 2022-2023? [Question posée à tous les répondants (n=2 000) ]

     

Vaccination pédiatrique

30 % des parents d’enfants âgés de 12 à 17 ans ayant reçu deux doses ont l’intention de faire administrer à leur enfant une autre dose

Parmi les parents d’enfants âgés de 12 à 17 ans ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19, 30 % ont l’intention de faire administrer une troisième dose à leur enfant, le plus tôt possible ou après un certain temps. 46 % n’ont pas l’intention de faire administrer à leur enfant une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19.

Figure 30. L’un de vos enfants âgés de 12 à 17 ans a-t-il reçu un vaccin contre la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 12 à 17 ans (n=217)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 30. L’un de vos enfants âgés de 12 à 17 ans a-t-il reçu un vaccin contre la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 12 à 17 ans (n=217) ]

     

Votre ou vos enfants âgés de 12 à 17 ans recevront-ils une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19?

Figure 31. Question posée aux répondants ayant un ou plusieurs enfants âgés de 12 à 17 ans qui ont reçu 2 doses (n=98)

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 31. Question posée aux répondants ayant un ou plusieurs enfants âgés de 12 à 17 ans qui ont reçu 2 doses (n=98)

     

Les parents qui n’ont pas encore fait vacciner leurs enfants âgés de 5 à 11 ans n’ont pas l’intention de le faire

La grande majorité (88 %) des parents qui n’ont pas encore fait vacciner leurs enfants âgés de 5 à 11 ans indiquent qu’ils n’ont pas l’intention de le faire.

Figure 32. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec l’énoncé suivant : Maintenant qu’un vaccin contre la COVID-19 est recommandé et disponible pour mon ou mes enfants âgés de 5 à 11 ans, je vais les faire vacciner. [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant non vacciné âgé de 5 à 11 ans (n=92)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 32. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec l’énoncé suivant : Maintenant qu’un vaccin contre la COVID-19 est recommandé et disponible pour mon ou mes enfants âgés de 5 à 11 ans, je vais les faire vacciner. [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant non vacciné âgé de 5 à 11 ans (n=92) ]

     

La majorité des parents d’enfants âgés de 5 à 11 ans ayant reçu deux doses d’un vaccin ont l’intention de faire administrer une troisième dose à leurs enfants

61 % des parents qui ont déjà fait vacciner leurs enfants âgés de 5 à 11 ans ont l’intention de leur faire administrer une troisième dose, soit le plus tôt possible, soit après un certain temps. Le quart (25 %) des parents de ce groupe n’ont pas l’intention de faire administrer une troisième dose à leur enfant.

Figure 33. Votre ou vos enfants âgés de 5 à 11 ans recevront-ils une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 si cela est recommandé? [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 5 à 11 ans ayant reçu deux doses d’un vaccin (n=104)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 33. Votre ou vos enfants âgés de 5 à 11 ans recevront-ils une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 si cela est recommandé? [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 5 à 11 ans ayant reçu deux doses d’un vaccin (n=104)]

     

La moitié des parents n’ont pas l’intention de faire vacciner leurs enfants âgés de 4 ans et moins, et un quart veulent attendre

Les vaccins ont été approuvés pour les enfants âgés de 6 mois à 4 ans en juillet 2022. Depuis lors, 18 % des parents ayant des enfants de cette tranche d’âge ont fait vacciner leurs enfants*. Parmi les parents qui n’ont pas fait vacciner leurs enfants de cette tranche d’âge, 51 % ont indiqué qu’ils ne prévoient pas le faire et 40 % des parents ont l’intention de faire vacciner leurs enfants âgés de 6 mois à 4 ans, soit le plus tôt possible, soit après un certain temps. Entre les vagues 2.4 et 2.5, le pourcentage de parents qui n’ont pas l’intention de faire vacciner leurs enfants a augmenté (de 44 % à 51 %, ce qui s’explique peut-être par le nombre d’enfants déjà vaccinés). Cependant, le pourcentage de personnes qui ont l’intention de faire vacciner leurs enfants le plus tôt possible a continué de diminuer (de 25 % à 17 %) et le nombre de personnes qui veulent attendre un peu a augmenté (de 17 % à 23 %). * Le taux d’administration du vaccin chez les répondants de l’étude SICO était supérieur au taux de vaccination en contexte réel (7 % des enfants âgés de 6 mois à 4 ans étaient vaccinées au 9 octobre 2022).

Figure 34. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec l’énoncé suivant : Maintenant qu’un vaccin contre la COVID-19 est recommandé et disponible pour mes enfants âgés de 6 mois à 4 ans, je vais les faire vacciner. [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 0 à 4 ans (n=139)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 34. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec l’énoncé suivant : Maintenant qu’un vaccin contre la COVID-19 est recommandé et disponible pour mes enfants âgés de 6 mois à 4 ans, je vais les faire vacciner. [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 0 à 4 ans (n=139)]

     

Les inquiétudes concernant l’infection des enfants par la COVID-19 ont diminué au fil du temps

Les inquiétudes concernant l’infection des enfants par la COVID-19 ont diminué depuis le début de la collecte de données. En octobre, seulement 9 % des parents ont indiqué qu’ils étaient très ou extrêmement préoccupés par la possibilité que leurs enfants contractent la COVID-19, contre 25 % en février. 20 % des parents étaient quelque peu préoccupés et 71 % ont déclaré ne pas être préoccupés, ou n’être que légèrement préoccupés, par la possibilité que leurs enfants contractent la COVID-19.

Figure 35. Dans quelle mesure êtes-vous inquiet face à la possibilité que votre ou vos enfants contractent la COVID-19? [Question posée aux répondants qui ont au moins un enfant à la maison (n=474)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 35. Dans quelle mesure êtes-vous inquiet face à la possibilité que votre ou vos enfants contractent la COVID-19? [Question posée aux répondants qui ont au moins un enfant à la maison (n=474)]

     

Plus des deux tiers des parents ont déclaré que leurs enfants avaient eu la COVID-19

71 % des parents ont déclaré que leurs enfants avaient été infectés par la COVID-19 ou l’avaient probablement été à un moment ou un autre de la pandémie. Dans le même ordre d’idées, 73 % des parents ont déclaré qu’ils avaient été eux-mêmes infectés ou l’avaient probablement été, contre 48 % des répondants sans enfant à la maison.

Figure 36. L’un de vos enfants a-t-il été infecté par la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant à la maison (n=454)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 36. L’un de vos enfants a-t-il été infecté par la COVID-19? [Question posée aux répondants ayant au moins un enfant à la maison (n=454)]

     

Sources d’information et confiance

Les sources d’information sur la COVID-19 qui inspirent le plus confiance sont les scientifiques et les travailleurs de la santé

La majorité des répondants font confiance (4 ou 5 sur une échelle de 5) aux scientifiques (79 %), aux travailleurs de la santé (78 %) et aux autorités sanitaires internationales (65 %) comme sources d’information sur la COVID-19. La confiance envers le gouvernement fédéral (62 %) et les gouvernements provinciaux/territoriaux (59 %) est également relativement élevée. Moins de la moitié des répondants interrogés ont déclaré faire confiance aux journaux et autres sources journalistiques et télévisées comme sources d’information sur la COVID-19. Il n’y a eu aucun changement significatif dans la confiance à l’égard des sources d’information entre février et octobre 2022.

Figure 37. Dans quelle mesure faites-vous confiance aux sources d’information suivantes sur la COVID-19 ou vous en méfiez-vous? [Pourcentage de confiance (4 ou 5 sur une échelle de 5 points); Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 37. Dans quelle mesure faites-vous confiance aux sources d’information suivantes sur la COVID-19 ou vous en méfiez-vous? [Pourcentage de confiance (4 ou 5 sur une échelle de 5 points); Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

La consommation d’informations sur la COVID-19 est stable depuis juin

La consommation d’informations sur la COVID-19 a diminué entre avril et juin 2022 et est restée relativement stable en octobre.

Figure 38. Dans quelle mesure, le cas échéant, avez-vous suivi l’actualité relative à la COVID-19 au cours du dernier mois? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 38. Dans quelle mesure, le cas échéant, avez-vous suivi l’actualité relative à la COVID-19 au cours du dernier mois? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

La moitié des répondants ont déclaré faire confiance au gouvernement du Canada

53 % des répondants ont déclaré faire entièrement ou modérément confiance au gouvernement du Canada, tandis que 35 % ont déclaré éprouver une méfiance modérée ou totale à son égard. Les femmes ont fait part d’une plus grande confiance (59 %) que les hommes (47 %). Les répondants ayant fait des études universitaires ont déclaré des niveaux de confiance plus élevés (63 %) que ceux qui ont fait des études collégiales (48 %) ou secondaires (49 %). Les répondants de l’Alberta (44 %), du Manitoba et de la Saskatchewan (42 %) ont déclaré une confiance plus faible que ceux des autres provinces.

Figure 39. Veuillez indiquer si, en général, vous faites confiance au gouvernement du Canada ou si vous vous en méfiez. [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 39. Veuillez indiquer si, en général, vous faites confiance au gouvernement du Canada ou si vous vous en méfiez. [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

La moitié des répondants estiment que le gouvernement fédéral a la compétence nécessaire pour faire face à la COVID-19

Un peu moins de la moitié des répondants n’étaient pas d’accord avec l’idée que le gouvernement fédéral écoute ce que les Canadiens ordinaires pensent de la COVID-19 (47 %) et que le gouvernement dépense efficacement pour mener des initiatives liées à la COVID-19 (44 %); 42 % estimaient que le gouvernement fédéral est trop influencé par l’industrie en ce qui concerne la COVID-19. Cependant, un peu moins de la moitié des répondants jugeaient que le gouvernement fédéral a la compétence nécessaire pour faire face à la COVID-19 (47 %).

Figure 40. Veuillez indiquer la mesure dans laquelle vous êtes en accord ou en désaccord avec les énoncés suivants concernant le gouvernement du Canada : [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 40. Veuillez indiquer la mesure dans laquelle vous êtes en accord ou en désaccord avec les énoncés suivants concernant le gouvernement du Canada : [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Sources d’information et confiance

Une grande partie des répondants ne sont pas certains si les affirmations factuelles sur la COVID-19 sont exactes

La majorité des répondants ont évalué correctement la plupart des affirmations vraies sur la COVID-19 comme étant quelque peu, plutôt ou tout à fait exactes. ​ Cependant, une grande partie des répondants (24 à 43 %) ont indiqué qu’ils n’étaient pas certains si les affirmations étaient vraies ou fausses. Certains répondants ont évalué les affirmations vraies comme étant inexactes. Par exemple, 15 % des répondants ont jugé l’affirmation « des études ont montré à plusieurs reprises que la vaccination contre la COVID-19 n’augmente pas le risque de fausse couche » comme étant quelque peu ou très inexacte. ​

Figure 41. À votre connaissance, dans quelle mesure les affirmations suivantes sont-elles exactes ou inexactes? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 41. À votre connaissance, dans quelle mesure les affirmations suivantes sont-elles exactes ou inexactes? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Une minorité de répondants ont indiqué que les fausses affirmations sur la COVID-19 étaient exactes

Une minorité de répondants ont indiqué que des affirmations fausses sur la COVID-19 étaient plutôt, assez ou très exactes. Ces pourcentages allaient de 8 % à 15 %, selon l’affirmation. ​ Par exemple, 11 % des répondants ont estimé que l’affirmation suivante était au moins plutôt exacte : « La consommation régulière d’ivermectine réduit de 92 % le risque de décès dû à la COVID-19. » Une grande partie des répondants n’étaient pas certains de l’exactitude de certaines affirmations. Par exemple, 31 % des répondants n’étaient pas certains si l’affirmation suivante était vraie ou fausse : « De nombreux pays européens interdisent les nouveaux vaccins de rappel contre la COVID-19 pour les jeunes adultes et les enfants, car ils ne sont pas sûrs. »

Figure 42. À votre connaissance, dans quelle mesure les affirmations suivantes sont-elles exactes ou inexactes? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 42. À votre connaissance, dans quelle mesure les affirmations suivantes sont-elles exactes ou inexactes? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Santé mentale et bien-être

Les répondants sont légèrement moins satisfaits de leur vie qu’en août

À la vague 2.5, 70 % des répondants avaient déclaré être satisfaits de leur vie dans l’ensemble; 7 % n’étaient ni satisfaits ni insatisfaits et 23 % étaient insatisfaits. La satisfaction à l’égard de la vie a diminué de 5 points de pourcentage entre août et octobre, et l’insatisfaction a également légèrement augmenté. Les répondants les plus jeunes (18 à 34 ans) ont déclaré une satisfaction à l’égard de la vie légèrement inférieure (64 %) à celle des personnes âgées de 35 à 54 ans (69 %) et des personnes âgées de 55 ans et plus (75 %).

Figure 43. Tout bien considéré, êtes-vous satisfait de votre vie dans son ensemble? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 43. Tout bien considéré, êtes-vous satisfait de votre vie dans son ensemble? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Plus des deux tiers des répondants déclarent être en bonne santé mentale et physique

70 % des répondants ont déclaré que leur santé mentale était excellente, très bonne ou bonne. Les répondants les plus jeunes étaient moins susceptibles de déclarer avoir une bonne santé mentale que les répondants les plus âgés. Les résidents de l’Ontario étaient également moins susceptibles de déclarer avoir une bonne santé mentale que ceux des autres provinces. 67 % des répondants ont déclaré que leur santé physique était excellente, très bonne ou bonne. En général, le pourcentage de répondants déclarant être en bonne ou meilleure santé mentale et physique a légèrement diminué depuis août.

Figure 44. En général, diriez-vous que votre santé mentale/physique est : [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 44. En général, diriez-vous que votre santé mentale/physique est : [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Les jeunes répondants sont plus susceptibles de signaler des indicateurs de mieux-être négatifs

24 % des répondants ont déclaré s’être sentis stressés la plupart du temps ou tout le temps au cours des deux dernières semaines; un autre 22 % des répondants ont déclaré se sentir épuisés la plupart du temps ou tout le temps. Les répondants les plus jeunes et les femmes étaient plus susceptibles que les autres de déclarer avoir éprouvé ces indicateurs négatifs la plupart du temps ou tout le temps au cours des deux dernières semaines.

Figure 45. Au cours des deux dernières semaines, combien de fois vous êtes-vous senti… [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 45. Au cours des deux dernières semaines, combien de fois vous êtes-vous senti… [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Perspectives sur la pandémie et rétablissement

En octobre, les répondants étaient divisés sur la question de savoir si nous connaissons une vague de COVID-19

En octobre, 37 % des répondants pensaient que nous connaissions une vague de COVID-19, 41 % pensaient le contraire et 22 % n’étaient pas sûrs. Les répondants âgés de 55 ans et plus étaient plus susceptibles de penser que nous étions dans une autre vague (40 %) que ceux âgés de 35 à 54 ans (38 %) et de 18 à 34 ans (32 %). Les femmes étaient également plus susceptibles de penser que nous étions dans une autre vague (44 %) que les hommes (30 %).

Figure 46. Pensez-vous que nous connaissons actuellement une vague de cas de COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 46. Pensez-vous que nous connaissons actuellement une vague de cas de COVID-19? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Plus de la moitié des répondants croient que le pire de la crise de la COVID-19 est passé

En octobre, il y a eu une augmentation du pourcentage de répondants ayant indiqué que le pire de la crise était derrière nous (59 %) par rapport à la vague de collecte de données précédente, en août (47 %). Il y a eu également une augmentation du pourcentage de répondants ayant indiqué qu’ils ne savaient pas si le pire était derrière nous ou à venir entre août (33 %) et octobre (20 %). Comme lors des vagues de collecte de données précédentes, 11 % des répondants ont indiqué qu’ils ne considéraient pas la COVID-19 comme une crise. Les hommes (14 %) étaient plus susceptibles que les femmes (8 %) de dire que la COVID-19 n’est pas une crise. Les résidents de l’Alberta étaient également plus susceptibles que les résidents des autres provinces de penser que la COVID-19 n’est pas une crise.

Figure 47. En ce qui concerne la pandémie de COVID-19, pensez-vous que le pire est derrière nous ou à venir? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 47. En ce qui concerne la pandémie de COVID-19, pensez-vous que le pire est derrière nous ou à venir? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Un tiers des répondants pensent que la vie ressemble déjà à la période prépandémique

Dans l’ensemble, les répondants étaient assez divisés sur le moment où ils pensent que la vie ressemblera à la période prépandémique. 28 % pensent que la vie ne ressemblera jamais à la période prépandémique, 33 % pensent que la vie ressemble déjà à la période prépandémique, 21 % pensent qu’il faudra plus de six mois pour y revenir et 7 % pensent qu’il faudra de un à six mois. Au fil du temps, il y a eu une augmentation importante du nombre de personnes qui pensent que la vie ressemble déjà à la période prépandémique (de 3 % en février à 33 % en octobre). Les répondants âgés de 18 à 34 ans et plus, les hommes et les résidents du Québec étaient plus susceptibles de penser que la vie ressemble déjà à la période prépandémique. Les répondants âgés de 55 ans et plus, les femmes et les résidents de l’Ontario étaient plus susceptibles de dire que la vie ne ressemblera jamais à la période prépandémique.

Figure 48. Quand pensez-vous que la vie quotidienne au Canada ressemblera à celle d’avant la pandémie? Les répondants sont divisés sur le moment où ils pensent que la vie reviendra à la normale. [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 48. Quand pensez-vous que la vie quotidienne au Canada ressemblera à celle d’avant la pandémie? Les répondants sont divisés sur le moment où ils pensent que la vie reviendra à la normale. [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Le coût de la vie et les divisions au sein de la société sont des préoccupations importantes, et les répercussions de la COVID sur l’économie le sont moins

Les deux tiers des répondants de l’étude SICO (70 %) ont indiqué qu’ils étaient préoccupés par l’inflation ou l’augmentation du coût de la vie. Les répondants âgés de 55 ans et plus et les résidents de la Colombie-Britannique et du Québec étaient moins susceptibles d’être préoccupés par l’inflation. 59 % ont indiqué qu’ils étaient préoccupés par l’augmentation des divisions ou des conflits au sein de la société, comparativement à 63 % en août. Les répondants âgés de 18 à 34 ans et les résidents de l’Alberta étaient plus susceptibles d’être préoccupés par les divisions croissantes au sein de la société. Les préoccupations concernant les répercussions de la COVID-19 sur l’économie continuent de baisser; elles touchaient 63 % des répondants en février, mais seulement 36 % en octobre.

 

Figure 49. En ce moment, à quel point êtes-vous préoccupé par les questions suivantes : [Question posée à tous les répondants (n=2 000); Pourcentage de répondants préoccupés (4 ou 5 sur 5)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 49. En ce moment, à quel point êtes-vous préoccupé par les questions suivantes : [Question posée à tous les répondants (n=2 000); Pourcentage de répondants préoccupés (4 ou 5 sur 5)]

     

Les répondants demeurent préoccupés par la surcharge du système de santé

59 % des répondants déclarent être très ou extrêmement préoccupés par la surcharge du système de santé. Les répondants les plus âgés (64 %) et les femmes (65 %) étaient plus susceptibles que les autres d’être préoccupés par la surcharge du système de santé. 37 % des répondants étaient préoccupés par l’impact de la pandémie sur la santé mentale des Canadiens. Les répondants les plus âgés (27 %) et les hommes (32 %) étaient moins préoccupés par les répercussions sur la santé mentale.

Figure 50. En ce moment, à quel point êtes-vous préoccupé par les questions suivantes : [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 50. En ce moment, à quel point êtes-vous préoccupé par les questions suivantes : [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

La plupart des préoccupations liées à la COVID, à l’exception de la surcharge du système de santé, ont diminué au fil du temps.

Au fil du temps, la plupart des préoccupations liées à la santé ont diminué. La seule exception concerne la part des répondants préoccupés par la surcharge du système de santé, qui a augmenté en août et est restée stable à 59 % entre août et octobre.

Figure 51. À l’heure actuelle, dans quelle mesure êtes-vous préoccupés par les sujets suivants liés à la santé? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 51. À l’heure actuelle, dans quelle mesure êtes-vous préoccupés par les sujets suivants liés à la santé? [Question posée à tous les répondants (n=2 000)]

     

Prochaines étapes

L’équipe des sciences du comportement d’Impact Canada utilisera une série d’analyses statistiques pour rechercher des tendances dans les données, ce qui nous permettra de répondre à des questions comme les suivantes :

  • Comment l’intention de se faire vacciner évolue-t-elle dans le temps?
  • En quoi les variations de la confiance aux sources d’information du gouvernement influent-elles au fil du temps sur l’intention de se faire vacciner?
  • En quoi les caractéristiques individuelles (p. ex., sexe, connaissances de base ou anxiété, état infectieux) entraînent-elles au fil du temps des changements de l’intention de se faire vacciner?
  • Comment les interactions entre le sexe et la confiance aux sources d’information du gouvernement influent-elles au fil du temps sur l’intention de se faire vacciner?

Nous sommes prêts, également, à passer à la deuxième phase de la collecte de données et à prolonger le projet dans l’année 2021!

Pour nous joindre

Pour en savoir plus ou pour explorer la possibilité de travailler avec nous, veuillez contacter l’Unité de l’impact et de l’innovation du Bureau du Conseil privé.

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