Vague 2.6

SICO Canada

La mise en œuvre de l’outil de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’analyse des comportements face à la COVID-19 au Canada.

Contexte

À l’appui des interventions du gouvernement fédéral, Impact Canada dirige la mise en place de l’outil de l’OMS pour l’analyse des comportements face à la COVID-19 au Canada. Ces travaux sont menés en collaboration avec l’équipe de la Recherche sur l’opinion publique du Secrétariat des communications et des consultations du Bureau du Conseil privé (BCP), qui aide le Cabinet du premier ministre à coordonner les communications du gouvernement conformément aux grandes priorités.

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Méthode

Avec un modèle longitudinal, l'étude suit 2 000 participants recrutés dans un comité en ligne sur seize vagues de collecte de données. De nouveaux participants sont ajoutés uniquement lorsqu'un panéliste initial cesse de participer.

Les répondants constituent un échantillon représentatif de Canadiens âgés de 18 ans et plus et les résultats sont pondérés à l'aide des données du recensement de 2016 de Statistique Canada afin de refléter la distribution de la population au Canada.

Aperçus clés

Proximité de la COVID-19 et mesures de santé publique
58 % des personnes interrogées ont déclaré avoir été infectées par la COVID-19, ou l’avoir probablement été, à un moment donné de la pandémie (contre 31 % en juin, 49 % en août et 54 % en octobre) et 13 % des personnes qui ont été infectées ont déclaré avoir ressenti des symptômes du syndrome post-COVID-19. Un tiers des personnes interrogées ont déclaré avoir eu de la fièvre, une toux, un mal de gorge ou un écoulement nasal au cours du dernier mois. Parmi les personnes ayant été malades, la moitié a déclaré porter un masque lorsqu’elles étaient malades et trois quarts d’entre elles sont restées à la maison lorsqu’elles étaient malades.
Vaccination chez l’adulte
Les principales raisons invoquées par les personnes interrogées ayant reçu deux doses du vaccin contre la COVID-19 pour ne pas avoir reçu une troisième dose jusqu’à présent étaient liées à : la crainte des effets secondaires ou le fait de ne pas vouloir se sentir malade après avoir reçu le vaccin; la perception que les vaccins sont inefficaces, qu’ils n’empêchent pas la propagation de la COVID-19 et que des personnes continuent de contracter la COVID-19 après la vaccination; et la perception qu’une autre dose n’est pas nécessaire.
Vaccination pédiatrique
Les principales raisons invoquées par les parents qui n’avaient pas encore fait vacciner au moins un de leurs enfants étaient les suivantes : la crainte des effets secondaires du vaccin; l’opinion selon laquelle les enfants ne sont pas exposés à la COVID-19; la perception que les vaccins n’ont pas suffisamment fait l’objet de tests; et la perception que les vaccins sont inefficaces.
Sources d’information et confiance
La confiance à l’égard des sources d’information sur la COVID-19 n’a pas beaucoup changé depuis le début de la collecte des données. 51 % des répondants ont déclaré faire entièrement ou modérément confiance au gouvernement du Canada, tandis que 37 % ont déclaré éprouver une méfiance modérée ou totale. La consommation d’informations sur la COVID-19 a diminué entre avril et juin 2022 et est restée relativement faible au cours des mois suivants.
Sources d’information et confiance
Une grande partie des répondants a indiqué de l’incertitude quant à l’exactitude des affirmations vraies sur la COVID-19 – ce qui laisse entendre qu’il y a des lacunes dans la connaissance des renseignements sur la COVID-19. Une minorité de répondants ont indiqué que les fausses affirmations sur la COVID-19 étaient « très exactes » ou « plutôt exactes ».
Santé mentale et bien-être
La satisfaction à l’égard de la vie a légèrement diminué entre août et octobre et est restée stable en décembre. Les répondants les plus jeunes (18 à 34 ans) étaient moins nombreux à se déclarer satisfaits de leur vie que les répondants plus âgés, et ils présentaient de moins bons indicateurs de santé mentale.
Perspectives sur la pandémie et rétablissement
Plus de la moitié de l’échantillon (55 %) a indiqué que le pire de la crise de la COVID-19 est derrière nous. Un tiers a indiqué que la vie quotidienne ressemble actuellement à l’époque d’avant la pandémie, tandis qu’un tiers a indiqué que la vie ne ressemblera jamais à l’époque d’avant la pandémie. Au fil du temps, la plupart des préoccupations des répondants liées à la santé ont diminué, à l’exception des préoccupations liées à la surcharge des systèmes de santé, qui ont augmenté. Comparativement aux inquiétudes liées à la COVID-19, les inquiétudes au sujet de l’inflation, des divisions croissantes au sein de la société et des changements climatiques sont devenues plus prioritaires.

Considérations

Collecte des données : 22 novembre au 15 décembre 2022
Taille de l’échantillon : 1 886

Lorsqu’on interprète les résultats de l’étude de Surveillance instantanée COVID-19 (SICO), il est utile de garder à l’esprit le contexte de la période de collecte de données, qui peut avoir influé sur les réponses des participants à l’étude. Avant et pendant la période de collecte de données de la vague 2.6 :

  • La plupart des Canadiens étaient vaccinés. En date du 4 décembre 2022, environ 90 % de la population canadienne de 18 ans et plus avait reçu au moins une dose d’un vaccin contre la COVID-19, 89 % au moins deux doses, 60 % au moins trois doses et 27 % quatre doses. Au 1er janvier 2023, 29 % des adultes canadiens avaient terminé leur série primaire ou reçu une dose de rappel au cours des six derniers mois.
  • Parmi les enfants de 12 à 17 ans, 84 % avaient reçu au moins une dose, 80 % au moins deux doses et 18 % trois doses. Parmi les enfants de 5 à 11 ans, 53 % avaient reçu au moins une dose, 41 % deux doses et 6 % trois doses. Au moins 8 % des enfants de quatre ans et moins avaient reçu une dose et 4 % deux doses.
  • Le 7 octobre, Santé Canada a autorisé le vaccin bivalent Pfizer contre la COVID-19 ciblant les sous-variants Omicron BA.4/BA.5. Le vaccin bivalent Moderna ciblant le sous-variant Omicron BA.1 a été approuvé au début septembre.
  • Au cours de la période de collecte des données, une importante couverture médiatique a été consacrée à l’engorgement du système de santé par les cas de grippe, de COVID-19 et de VRS.

Proximité de la COVID-19 et mesures de santé publique

Plus de la moitié des répondants déclarent avoir été infectés par la COVID-19 à un moment ou un autre

Dans le cadre de la vague 2.5, 58 % des répondants ont déclaré avoir été – ou avoir probablement été – infectés par la COVID-19 à un moment ou un autre de la pandémie (contre 54 % dans le cadre de la vague 2.5). Le pourcentage des répondants qui ont déclaré ne pas avoir été infectés par la COVID-19 est passé de 69 % en février à 37 % en décembre. Les répondants âgés de 55 ans et plus étaient moins susceptibles (42 %) de déclarer avoir été infectés que ceux âgés de 35 à 54 ans (65 %) et de 18 à 34 ans (73 %).

Figure 1. Êtes-vous ou avez-vous été infecté par la COVID-19?

[question posée à tous les répondants (n= 1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 1. Êtes-vous ou avez-vous été infecté par la COVID-19?

    [question posée à tous les répondants (n= 1886)]
     

Parmi ceux qui ont eu la COVID-19, un quart a pu ressentir des symptômes du syndrome post-COVID-19.

Parmi les personnes qui ont probablement eu la COVID-19 (58 % de l’échantillon), 13 % ont déclaré avoir ressenti des symptômes du syndrome post-COVID-19 (c.-à-d. des symptômes physiques ou psychologiques qui durent plus de 12 semaines après l’infection à la COVID-19). En outre, 13 % des personnes interrogées ont déclaré ne pas savoir si elles avaient souffert d’un syndrome post-COVID-19. Un tiers de tous les répondants déclarent connaître personnellement quelqu’un qui a ressenti des symptômes du syndrome post-COVID-19.

Figure 2. Connaissez-vous personnellement quelqu’un qui a éprouvé des symptômes de la COVID longue?

[question posée à tous les répondants (n= 1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 2. Connaissez-vous personnellement quelqu’un qui a éprouvé des symptômes de la COVID longue?

    [question posée à tous les répondants (n= 1886)]
     

Figure 3. Avez-vous éprouvé des symptômes de la COVID longue?

[question posée aux répondants ayant eu un cas confirmé ou présumé de covid-19 (n= 1099)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 3. Avez-vous éprouvé des symptômes de la COVID longue?

    [question posée aux répondants ayant eu un cas confirmé ou présumé de covid-19 (n= 1099)]
     

Les symptômes les plus signalés du syndrome post-COVID-19 sont la fatigue et les troubles cognitifs et du sommeil.

Les symptômes les plus fréquemment rapportés du syndrome post-COVID-19 étaient la fatigue, les problèmes cognitifs (problèmes de mémoire, de concentration ou de sommeil), l’essoufflement ou la difficulté à respirer et les douleurs musculaires. La plupart des répondants ont éprouvé plus d’un symptôme. En moyenne, les répondants ont déclaré avoir ressenti trois symptômes du syndrome post-COVID-19.

Figure 4. Quels symptômes de la COVID de longue durée avez-vous éprouvés? Choisissez toutes les réponses pertinentes.

[question posée aux répondants qui ont éprouvé des symptômes du syndrome post-covid-19 (n= 286)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 4. Quels symptômes de la COVID de longue durée avez-vous éprouvés? Choisissez toutes les réponses pertinentes.

    [question posée aux répondants qui ont éprouvé des symptômes du syndrome post-covid-19 (n= 286)]
     

Un quart des répondants ont subi un test de dépistage de la COVID-19 au cours du dernier mois

Dans le cadre de la vague 2.6, 27 % des répondants ont déclaré avoir subi un test de dépistage de la COVID-19 au cours du mois précédent, soit un test rapide (25 %) ou un test PCR (2 %). 14 % des répondants ont déclaré avoir fait subir un test rapide à quelqu’un d’autre au cours du mois précédent. Les pratiques de dépistage ont été assez stables entre juin et décembre.

Figure 5. Au cours des quatre dernières semaines, avez-vous…

[question posée à tous les répondants (n= 1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 5. Au cours des quatre dernières semaines, avez-vous…

    [question posée à tous les répondants (n= 1886)]
     

L'adhésion à la plupart des mesures de santé publique est faible

Un tiers des répondants ont déclaré pratiquer souvent ou toujours des mesures de santé publique telles que le port d’un masque lorsqu’il n’est pas obligatoire (35 %), prendre des mesures pour améliorer la qualité de l’air (30 %) et éviter les lieux et événements publics (32 %). Les répondants âgés de 55 ans et plus et les femmes étaient plus susceptibles que les autres de déclarer pratiquer souvent ou toujours des mesures de santé publique. Les répondants les plus jeunes, les hommes et les résidents de l’Alberta étaient moins susceptibles que les autres de déclarer pratiquer ces mesures.

Figure 6. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour prévenir la propagation de la COVID-19?

[question posée à tous les répondants (n= 1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 6. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour prévenir la propagation de la COVID-19?

    [question posée à tous les répondants (n= 1886)]
     

Le port fréquent du masque a diminué au fil du temps, avec une légère remontée en décembre.

La part des personnes interrogées qui ont déclaré porter souvent ou toujours un masque alors que ce n’était pas obligatoire a diminué de manière excessive (de 57 % en avril à 35 % en décembre). Toutefois, on a constaté une légère augmentation du port fréquent du masque lorsqu’il n’est pas obligatoire au cours de la dernière vague de collecte de données (de 31 % en octobre à 35 % en décembre).

Figure 7. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour prévenir la propagation de la COVID-19?

[% Souvent ou toujours; question posée à tous les répondants (n= 1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 7. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour prévenir la propagation de la COVID-19?

    [% Souvent ou toujours; question posée à tous les répondants (n= 1886)]
     

Le respect des mesures de santé publique a diminué au fil du temps

En général, la proportion de répondants qui déclarent prendre souvent ou toujours des mesures de santé publique a diminué au fil du temps. Depuis les mois d’été, la proportion de personnes qui déclarent prendre souvent ou toujours des mesures pour améliorer la qualité de l’air et choisir de rencontrer d’autres personnes à l’extérieur a régulièrement diminué avec le temps plus froid. Entre octobre et décembre, on a constaté une légère augmentation du nombre de personnes déclarant éviter souvent ou toujours les lieux et événements publics (de 28 % à 32 %).

Figure 8. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour prévenir la propagation de la COVID-19?

[% Souvent ou toujours; question posée à tous les répondants (n= 1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 8. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures suivantes pour éviter de contracter la COVID-19 ou pour prévenir la propagation de la COVID-19?

    [% Souvent ou toujours; question posée à tous les répondants (n= 1886)]
     

Les personnes interrogées portent un masque dans diverses situations.

Les répondants qui ont déclaré avoir porté un masque parfois, souvent ou toujours au cours du dernier mois ont été interrogés sur les situations au cours desquelles ils portent habituellement un masque. Les principales situations étaient les suivantes : se rendre à des rendez-vous médicaux (83 %); faire des achats dans une épicerie (70 %) ou un magasin de détail (65 %); rendre visite à des personnes qui présentent un risque élevé de COVID-19 (63 %).

Figure 9. Vous avez indiqué que vous avez porté un masque au cours du mois dernier. Dans quelles situations portez-vous habituellement un masque?

[question posée aux répondants ayant parfois, souvent ou toujours porté un masque au cours du dernier mois (n= 1033)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 9. Vous avez indiqué que vous avez porté un masque au cours du mois dernier. Dans quelles situations portez-vous habituellement un masque?

    [question posée aux répondants ayant parfois, souvent ou toujours porté un masque au cours du dernier mois (n= 1033)]
     

Plus d’un tiers des personnes interrogées déclarent avoir été malades au cours du dernier mois.

35 % des personnes interrogées ont déclaré avoir eu de la fièvre, une toux, un mal de gorge ou un écoulement nasal au cours du dernier mois. Les répondants âgés de 18 à 34 ans étaient plus susceptibles de déclarer avoir été malades (46 %) que ceux âgés de 35 à 54 ans (36 %) et ceux âgés de 55 ans et plus (26 %). Les parents ayant des enfants à la maison étaient également plus susceptibles de déclarer avoir été malades (49 %) que ceux n’ayant pas d’enfants à la maison (31 %).

Figure 10. Au cours du dernier mois, avez-vous eu de la fièvre, une toux, un mal de gorge ou un écoulement nasal?

[question posée à tous les répondants (n= 1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 10. Au cours du dernier mois, avez-vous eu de la fièvre, une toux, un mal de gorge ou un écoulement nasal?

    [question posée à tous les répondants (n= 1886)]
     

Une personne interrogée sur deux rapporte avoir porté un masque lorsqu’elle était malade et trois quarts des personnes interrogées sont restées à la maison lorsqu’elles étaient malades.

Parmi les personnes ayant déclaré avoir été malades au cours du dernier mois, 48 % ont déclaré porter souvent ou toujours un masque à l’intérieur lorsqu’elles utilisent un espace commun avec d’autres personnes. 77 % ont déclaré rester souvent ou toujours à la maison lorsqu’elles sont malades. Les femmes étaient plus susceptibles de porter souvent ou toujours un masque lorsqu’elles étaient malades (52 %) que les hommes (33 %). De même, les femmes étaient plus susceptibles de rester souvent ou toujours à la maison lorsqu’elles étaient malades (83 %) que les hommes (72 %).

Figure 11. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures de santé suivantes lorsque vous étiez malade?

[question posée aux répondants ayant été malades au cours du dernier mois (n=683)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 11. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures de santé suivantes lorsque vous étiez malade?

    [question posée aux répondants ayant été malades au cours du dernier mois (n=683)]
     

Le fait de ne pas pouvoir s’absenter du travail ou de l’école est la principale raison invoquée pour ne pas rester à la maison en cas de maladie

Parmi les personnes qui ont déclaré rester parfois, rarement ou jamais à la maison lorsqu’elles étaient malades, les principales raisons qu’elles ont invoquées étaient l’impossibilité de manquer le travail ou l’école (58 %), la nécessité d’aller chercher des produits de première nécessité (50 %) et le choix personnel (37 %).

Figure 12. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures de santé suivantes lorsque vous étiez malade?

[question posée aux répondants qui sont parfois, rarement ou jamais restés à la maison lorsqu’ils étaient malades (n=143)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 12. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous pris les mesures de santé suivantes lorsque vous étiez malade?

    [question posée aux répondants qui sont parfois, rarement ou jamais restés à la maison lorsqu’ils étaient malades (n=143)]
     

Les Canadiens considèrent que l’adoption personnelle des mesures de santé publique est efficace pour réduire la propagation de la COVID-19

Malgré un taux d’adhésion aux mesures de santé publique relativement faible, la majorité des personnes interrogées considèrent que leur adoption de la plupart des mesures de santé publique est très ou extrêmement efficace pour réduire la propagation de la COVID-19. Par exemple, 57 % considèrent le port du masque comme une mesure très ou extrêmement efficace, alors que seulement 35 % déclarent porter souvent ou toujours un masque lorsqu’il n’est pas obligatoire. Toutefois, un quart des personnes interrogées considèrent que le port d’un masque (23 %), l’amélioration de la ventilation intérieure (24 %) et l’isolement après avoir été en contact avec une personne atteinte de la COVID-19 (25 %) sont peu ou pas du tout efficaces.

Figure 13. Selon vous, dans quelle mesure l’utilisation systématique des mesures de santé publique suivantes serait-elle efficace pour réduire la propagation de la COVID-19?

[En utilisant une approche d’échantillon divisé, cette question a été posée à la moitié des répondants (n=949).]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 13. Selon vous, dans quelle mesure l’utilisation systématique des mesures de santé publique suivantes serait-elle efficace pour réduire la propagation de la COVID-19?

    [En utilisant une approche d’échantillon divisé, cette question a été posée à la moitié des répondants (n=949).]
     

La plupart considèrent comme efficace l’adoption constante de mesures de santé publique par la majorité des Canadiens.

Lorsqu’on leur a demandé dans quelle mesure ils considèrent que l’adoption constante des mesures de santé publique est efficace, la plupart des Canadiens considèrent que ces mesures sont très ou extrêmement efficaces pour réduire la propagation de la COVID-19.

Figure 14. Selon vous, dans quelle mesure l’adoption systématique des mesures de santé publique suivantes par une majorité de Canadiens serait-elle efficace pour réduire la propagation de la COVID-19?

[En utilisant une approche d’échantillon divisé, cette question a été posée à la moitié des répondants (n=949).]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 14. Selon vous, dans quelle mesure l’adoption systématique des mesures de santé publique suivantes par une majorité de Canadiens serait-elle efficace pour réduire la propagation de la COVID-19?

    [En utilisant une approche d’échantillon divisé, cette question a été posée à la moitié des répondants (n=949).]
     

La participation à des rassemblements, des événements et des voyages a été stable au cours des six derniers mois.

En général, la participation aux rassemblements, aux événements et aux voyages a augmenté d’une vague à l’autre entre février et juin et est demeurée relativement stable entre juin et décembre. Les répondants les plus âgés et les femmes étaient moins susceptibles de déclarer avoir participé aux activités énumérées. Par exemple, 73 % des répondants âgés de 55 ans et plus ont déclaré avoir rendu visite à leur famille et à leurs amis à l’intérieur, contre 81 % en moyenne.

Figure 15. Au cours des deux dernières semaines, avez-vous...

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 15. Au cours des deux dernières semaines, avez-vous...

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Plus de la moitié sont toujours favorables au rétablissement de nombreuses mesures de santé publique, si nécessaire.

La majorité des répondants de l’étude SICO ont indiqué qu’ils soutiendraient l’adoption ou le rétablissement de nombreuses mesures de santé publique si elles s’avéraient nécessaires. Les mesures les plus soutenues comprenaient le port du masque (58-63 %), la preuve de vaccination (51-53 %) et la limitation des rassemblements (49 %). Les mesures auxquelles ils s’opposaient le plus étaient les fermetures d’entreprises (65 % d’opposition), les fermetures d’écoles/garderies (52 %) et le confinement à la maison (53 %). Les répondants âgés de 55 ans et plus et les femmes étaient beaucoup plus susceptibles de soutenir l’hypothétique rétablissement des mesures.

Figure 16. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous?

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 16. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous?

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Au fil du temps, le soutien au rétablissement des mesures de santé publique si nécessaire a progressivement diminué.

Au fil du temps, le soutien au rétablissement des mesures de santé publique si nécessaire a progressivement diminué pour la plupart des mesures.

Figure 17. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous?

[% Soutien; question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 17. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous?

    [% Soutien; question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Au fil du temps, le nombre de personnes favorables au rétablissement de l’exigence d’une preuve de vaccination a diminué, mais la moitié d’entre elles continuent de les soutenir.

Au fil du temps, le soutien du rétablissement de l’exigence d’une preuve de vaccination a diminué. Cependant, près de la moitié des répondants continuent d’indiquer qu’ils soutiendraient les exigences relatives aux vaccins si nécessaire pour répondre à une épidémie de COVID-19. Le soutien de l’obligation de fournir une preuve de vaccination varie considérablement selon le statut vaccinal des répondants : ceux qui ont reçu le moins de doses sont les moins favorables à ces mesures.

Figure 18. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous?

[% Soutien; question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 18. À l’avenir, si les mesures de santé publique suivantes devaient être mises en œuvre ou rétablies pour prévenir une épidémie généralisée, les soutiendriez-vous?

    [% Soutien; question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

La moitié des répondants déclarent être susceptibles de porter un masque pour des raisons autres que la COVID-19.

La moitié des répondants (53 %) ont indiqué qu’ils étaient susceptibles de porter un masque en public pour des raisons autres que la COVID-19, tandis que 40 % étaient peu susceptibles de porter un masque. Les répondants âgés de 55 ans et plus et les femmes étaient plus susceptibles de dire qu’ils porteraient un masque pour des raisons autres que la COVID-19.

Figure 19. Dans quelle mesure êtes-vous susceptible de porter un masque en public pour des raisons autres que la COVID-19 (p. ex. rhume, grippe, autres virus)?

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 19. Dans quelle mesure êtes-vous susceptible de porter un masque en public pour des raisons autres que la COVID-19 (p. ex. rhume, grippe, autres virus)?

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Deux répondants sur trois pensent que leur province est confrontée à une crise sanitaire en raison des maladies respiratoires.

68 % des répondants étaient d’accord pour dire que leur province était confrontée à une crise sanitaire en raison des maladies respiratoires telles que la grippe, le VRS et la COVID-19. Les répondants du Québec étaient plus susceptibles d’être d’accord pour dire que le système de santé était en crise (74 %) et ceux de la Colombie-Britannique étaient moins susceptibles d’être d’accord à ce sujet (60 %).

Figure 20. Dans quelle mesure êtes-vous d’accord ou non avec le fait que [la province ou le territoire du répondant] fait actuellement face à une crise sanitaire en raison de maladies respiratoires comme la grippe, le virus respiratoire syncytial (VRS) et la COVID-19?

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 20. Dans quelle mesure êtes-vous d’accord ou non avec le fait que [la province ou le territoire du répondant] fait actuellement face à une crise sanitaire en raison de maladies respiratoires comme la grippe, le virus respiratoire syncytial (VRS) et la COVID-19?

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Vaccination chez l’adulte

Au fil du temps, les intentions de recevoir une troisième dose ont diminué parmi les personnes ayant reçu deux doses.

En décembre, 16 % des répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 ont indiqué qu’ils recevraient probablement une troisième dose. Au fil du temps, le nombre des personnes qui ont l’intention de recevoir une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 a diminué en passant de 39 % en février à 16 % en décembre, tandis que le taux d’administration de la troisième dose n’a pas augmenté de manière significative.

Figure 21. Si une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 était disponible et vous était recommandée, dans quelle mesure seriez-vous susceptible de la recevoir?

[question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la covid-19 (n=337)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 21. Si une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 était disponible et vous était recommandée, dans quelle mesure seriez-vous susceptible de la recevoir?

    [question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la covid-19 (n=337)]
     

La crainte des effets secondaires et la perception de l’inefficacité des vaccins sont les principales raisons qui poussent les gens à éviter une troisième dose.

Dans une question ouverte, les répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 ont été invités à expliquer les raisons pour lesquelles ils n’avaient pas reçu de dose de rappel jusqu’à présent. Les raisons les plus souvent invoquées sont liées à : la crainte des effets secondaires ou le fait de ne pas vouloir se sentir malade après avoir reçu le vaccin; la perception que les vaccins sont inefficaces, qu’ils ne freinent pas la propagation de la COVID-19 et que des personnes continuent de contracter la COVID-19 après avoir été vaccinées; la perception qu’une autre dose n’est pas nécessaire et le fait de se demander combien de doses seront suffisantes.

Figure 22. Vous avez indiqué avoir reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19. En quelques mots, veuillez expliquer pourquoi vous n’avez pas reçu de troisième dose jusqu’à présent.

[question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la covid-19 (n=337)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 22. Vous avez indiqué avoir reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19. En quelques mots, veuillez expliquer pourquoi vous n’avez pas reçu de troisième dose jusqu’à présent.

    [question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la covid-19 (n=337)]
     

Se protéger contre la COVID-19 est la principale raison invoquée pour recevoir une troisième dose.

Dans une question ouverte, les répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 ont été invités à expliquer les principales raisons pour lesquelles ils ont décidé de recevoir une troisième dose. La principale raison invoquée est la volonté de se protéger contre la COVID-19 ou de nouveaux variants.

Figure 23. Vous avez indiqué avoir reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19. En quelques mots, veuillez expliquer les principales raisons pour lesquelles vous avez choisi de recevoir une troisième dose.

[question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la covid-19 – suréchantillonnage (n=443)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 23. Vous avez indiqué avoir reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19. En quelques mots, veuillez expliquer les principales raisons pour lesquelles vous avez choisi de recevoir une troisième dose.

    [question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la covid-19 – suréchantillonnage (n=443)]
     

Certains répondants ayant reçu deux doses seraient plus susceptibles de recevoir une troisième dose dans certaines circonstances

Les principaux scénarios qui, selon les répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19, les inciteraient à recevoir une troisième dose sont les suivants : si un nouveau variant plus grave de la COVID-19 commençait à se propager (35 %); si la preuve d’une troisième dose était exigée pour des activités comme les voyages (35 %); si un nouveau vaccin permettant de mieux prévenir l’infection était disponible (30 %). Cependant, dans la plupart des cas, un nombre supérieur ou similaire de répondants a indiqué que ces scénarios hypothétiques les rendraient moins susceptibles de recevoir une troisième dose.

Figure 24. Dans quelle mesure chacun des scénarios hypothétiques suivants vous rendrait-il plus ou moins susceptible de recevoir une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19?

[question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la covid-19 – suréchantillonnage (n=423)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 24. Dans quelle mesure chacun des scénarios hypothétiques suivants vous rendrait-il plus ou moins susceptible de recevoir une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19?

    [question posée aux répondants ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la covid-19 – suréchantillonnage (n=423)]
     

Plus de la moitié des répondants qui ont reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 ont l’intention d’en recevoir une quatrième.

Plus de la moitié (59 %) des répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 indiquent qu’il est probable qu’ils recevront une quatrième dose. Le nombre de personnes ayant l’intention de recevoir une quatrième dose a diminué au fil du temps. Cependant, cela s’explique probablement par une augmentation du nombre de personnes qui ont reçu une quatrième dose. Depuis le début de la collecte de données en février, le nombre de personnes ayant l’intention de recevoir une quatrième dose (parmi celles qui en ont reçu trois) a été très supérieur au nombre de personnes ayant l’intention de recevoir une troisième dose (parmi celles qui en ont reçu deux).

Figure 25. Si une quatrième dose d’un vaccin contre la COVID-19 était disponible et vous était recommandée, dans quelle mesure seriez-vous susceptible de la recevoir?

[question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la covid-19 (n=443)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 25. Si une quatrième dose d’un vaccin contre la COVID-19 était disponible et vous était recommandée, dans quelle mesure seriez-vous susceptible de la recevoir?

    [question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la covid-19 (n=443)]
     

Se protéger contre la COVID-19 est la principale raison invoquée pour recevoir une quatrième dose.

Dans une question ouverte, les répondants ayant reçu quatre doses d’un vaccin contre la COVID-19 ont été invités à expliquer les principales raisons pour lesquelles ils ont décidé de recevoir une quatrième dose. La principale raison invoquée est la volonté de se protéger contre la COVID-19 et ses nouveaux variants.

Figure 26. Vous avez indiqué avoir reçu quatre doses d’un vaccin contre la COVID-19. En quelques mots, veuillez expliquer les principales raisons pour lesquelles vous avez choisi de recevoir une quatrième dose.

[question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la covid-19 (n=626)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 26. Vous avez indiqué avoir reçu quatre doses d’un vaccin contre la COVID-19. En quelques mots, veuillez expliquer les principales raisons pour lesquelles vous avez choisi de recevoir une quatrième dose.

    [question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la covid-19 (n=626)]
     

De nouveaux vaccins ou l’émergence d’un variant causant une forme plus grave motiveraient la prise d’une quatrième dose

Les principaux scénarios qui, selon les répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19, les rendraient plus susceptibles de recevoir une quatrième dose étaient les suivants : si un nouveau vaccin qui prévient mieux l’infection était disponible (73 %) ou ciblait les variants de la COVID-19 (66 %); si un nouveau variant qui cause une forme plus grave de COVID-19 apparaissait (73 %).

Figure 27. Dans quelle mesure chacun des scénarios hypothétiques suivants vous rendrait-il plus ou moins susceptible de recevoir une quatrième dose d’un vaccin contre la COVID-19?

[question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la covid-19 (n=453)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 27. Dans quelle mesure chacun des scénarios hypothétiques suivants vous rendrait-il plus ou moins susceptible de recevoir une quatrième dose d’un vaccin contre la COVID-19?

    [question posée aux répondants ayant reçu trois doses d’un vaccin contre la covid-19 (n=453)]
     

Un peu plus d’un tiers des personnes interrogées déclarent avoir été vaccinées contre la grippe cette année.

Un peu plus d’un tiers des personnes interrogées (37 %) ont indiqué qu’elles avaient déjà été vaccinées contre la grippe au cours de la saison 2022-2023 et 18 % supplémentaires ont indiqué qu’elles allaient probablement le faire. Parmi elles, 38 % ont indiqué qu’il était peu probable qu’elles se fassent vacciner contre la grippe cette année. Le nombre des personnes qui ont reçu le vaccin contre la grippe variait considérablement en fonction du statut de vaccination contre la COVID-19. Parmi les répondants qui ne sont pas vaccinés contre la COVID-19, aucun n’a indiqué avoir reçu un vaccin contre la grippe, tandis que 6 % des personnes qui ont reçu deux doses, 20 % des personnes qui ont reçu trois doses, 61 % des personnes qui ont reçu quatre doses et 81 % des personnes qui ont reçu cinq doses ont indiqué qu’elles avaient reçu un vaccin contre la grippe.

Figure 28. Dans quelle mesure êtes-vous susceptible de vous faire vacciner contre la grippe pendant la saison grippale 2022-2023?

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 28. Dans quelle mesure êtes-vous susceptible de vous faire vacciner contre la grippe pendant la saison grippale 2022-2023?

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Vaccination pédiatrique

Un cinquième des parents d’enfants âgés de 12 à 17 ans ayant reçu deux doses ont l’intention de faire administrer à leur enfant une autre dose.

30 % des parents d’enfants âgés de 12 à 18 ans ont indiqué que leurs enfants ont reçu trois doses d’un vaccin contre la COVID-19. Parmi les parents d’enfants âgés de 12 à 17 ans ayant reçu deux doses d’un vaccin contre la COVID-19, 21 % ont l’intention de faire administrer une troisième dose à leur enfant, le plus tôt possible ou après un certain temps. 50 % n’ont pas l’intention de faire administrer à leur enfant une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19. * Remarque : Le taux d’administration du vaccin chez les répondants de l’étude SICO était supérieur au taux de vaccination en contexte réel (parmi les jeunes âgés de 12 à 17 ans, 84 % avaient reçu au moins une dose, 80 % au moins deux doses et 18 % trois doses).

Figure 29. L’un de vos enfants âgés de 12 à 17 ans a-t-il reçu un vaccin contre la COVID-19?

[question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 12 à 17 ans (n=197)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 29. L’un de vos enfants âgés de 12 à 17 ans a-t-il reçu un vaccin contre la COVID-19?

    [question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 12 à 17 ans (n=197)]
     

Figure 30. Votre ou vos enfants âgés de 12 à 17 ans recevront-ils une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19?

[question posée aux répondants ayant un ou plusieurs enfants âgés de 12 à 17 ans qui ont reçu 2 doses (n=89)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 30. Votre ou vos enfants âgés de 12 à 17 ans recevront-ils une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19?

    [question posée aux répondants ayant un ou plusieurs enfants âgés de 12 à 17 ans qui ont reçu 2 doses (n=89)]
     

La première dose du vaccin chez les enfants de 5 à 11 ans est au point mort, et l’administration de la troisième dose augmente.

Le taux d’administration de la première dose de vaccin dans le groupe d’âge de 5 à 11 ans est resté juste en dessous de 60 % depuis le début de la collecte de données en février*. Le taux d’administration de la deuxième dose est resté constant à environ 50 % entre juin et octobre. Une légère augmentation du taux d’administration de la troisième dose a été observée, passant de 7 % en octobre à 17 % en décembre. * Remarque : Le taux d’administration du vaccin chez les répondants de l’étude SICO était supérieur au taux de vaccination en contexte réel (parmi les enfants âgés de 5 à 11 ans, 53 % avaient reçu au moins une dose, 41 % deux doses et 6 % trois doses).

Figure 31. L’un de vos enfants âgés de 5 à 11 ans a-t-il reçu un vaccin contre la COVID-19?

[question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 5 à 11 ans (n=200)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 31. L’un de vos enfants âgés de 5 à 11 ans a-t-il reçu un vaccin contre la COVID-19?

    [question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 5 à 11 ans (n=200)]
     

Les parents qui n’ont pas encore fait vacciner leurs enfants âgés de 5 à 11 ans n’ont pas l’intention de le faire

La grande majorité (92 %) des parents qui n’ont pas encore fait vacciner leurs enfants âgés de 5 à 11 ans indiquent qu’ils n’ont pas l’intention de le faire à l’avenir.

Figure 32. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec l’énoncé suivant : Maintenant qu’un vaccin contre la COVID-19 est recommandé et disponible pour mon ou mes enfants âgés de 5 à 11 ans, je vais les faire vacciner.

[question posée aux répondants ayant au moins un enfant non vacciné âgé de 5 à 11 ans (n=82)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 32. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec l’énoncé suivant : Maintenant qu’un vaccin contre la COVID-19 est recommandé et disponible pour mon ou mes enfants âgés de 5 à 11 ans, je vais les faire vacciner.

    [question posée aux répondants ayant au moins un enfant non vacciné âgé de 5 à 11 ans (n=82)]
     

La majorité des parents d’enfants âgés de 5 à 11 ans ayant reçu deux doses d’un vaccin ont l’intention de faire administrer une troisième dose à leurs enfants

52 % des parents qui ont déjà fait vacciner leurs enfants âgés de 5 à 11 ans ont l’intention de leur faire administrer une troisième dose, le plus tôt possible ou après un certain temps. Un tiers (31 %) des parents de ce groupe n’ont pas l’intention de faire administrer une troisième dose à leur enfant.

Figure 33. Votre ou vos enfants âgés de 5 à 11 ans recevront-ils une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 si cela est recommandé?

[question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 5 à 11 ans ayant reçu deux doses d’un vaccin (n=71)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 33. Votre ou vos enfants âgés de 5 à 11 ans recevront-ils une troisième dose d’un vaccin contre la COVID-19 si cela est recommandé?

    [question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 5 à 11 ans ayant reçu deux doses d’un vaccin (n=71)]
     

Deux tiers des parents qui n’ont pas encore fait vacciner leurs enfants âgés de 4 ans et moins n’ont pas l’intention de le faire.

Les vaccins ont été approuvés pour les enfants âgés de 6 mois à 4 ans en juillet 2022. Depuis lors, 21 % des parents ayant des enfants de cette tranche d’âge ont fait vacciner leurs enfants*. Parmi les parents qui n’ont pas fait vacciner leurs enfants de cette tranche d’âge, 60 % ont indiqué qu’ils ne prévoient pas le faire et 29 % des parents ont l’intention de faire vacciner leurs enfants âgés de 6 mois à 4 ans, soit le plus tôt possible, soit après un certain temps. Entre les vagues d’octobre et de décembre, le pourcentage de parents qui n’ont pas l’intention de faire vacciner leurs enfants a augmenté (de 51 % à 60 %, ce qui s’explique peut-être par l’adoption du vaccin). La proportion de ceux qui ont l’intention de faire vacciner leurs enfants dès que possible ou après un certain temps a diminué (de 40 % à 29 %). * Remarque : Le taux d’administration du vaccin chez les répondants de l’étude SICO était supérieur au taux de vaccination en contexte réel (8 % des enfants âgés de 6 mois à 4 ans étaient vaccinées avec au moins une dose au 4 décembre 2022).

Figure 34. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec l’énoncé suivant : Maintenant qu’un vaccin contre la COVID-19 est recommandé et disponible pour mes enfants âgés de 6 mois à 4 ans, je vais les faire vacciner.

[question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 0 à 4 ans (n=129)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 34. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord avec l’énoncé suivant : Maintenant qu’un vaccin contre la COVID-19 est recommandé et disponible pour mes enfants âgés de 6 mois à 4 ans, je vais les faire vacciner.

    [question posée aux répondants ayant au moins un enfant âgé de 0 à 4 ans (n=129)]
     

La crainte des effets secondaires est la principale raison pour laquelle les parents n’ont pas encore fait vacciner leurs enfants.

Dans une question ouverte, les parents qui n’avaient pas encore fait vacciner au moins un de leurs enfants ont été invités à expliquer les raisons pour lesquelles leurs enfants n’avaient pas encore été vaccinés. La principale raison invoquée par les parents est la suivante : la crainte des effets secondaires du vaccin (35 %); l’opinion selon laquelle les enfants ne courent pas de risque avec la COVID-19 (19 %); l’impression que les vaccins n’ont pas suffisamment fait l’objet de tests (16 %); la perception que les vaccins sont inefficaces (14 %).

Figure 35. En quelques mots, veuillez expliquer pourquoi l’un de vos enfants ou tous vos enfants n’ont pas encore reçu le vaccin contre la COVID-19.

[question posée aux répondants ayant au moins un enfant à la maison et n’ayant pas encore fait vacciner leurs enfants (n=198)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 35. En quelques mots, veuillez expliquer pourquoi l’un de vos enfants ou tous vos enfants n’ont pas encore reçu le vaccin contre la COVID-19.

    [question posée aux répondants ayant au moins un enfant à la maison et n’ayant pas encore fait vacciner leurs enfants (n=198)]
     

Les inquiétudes concernant l’infection des enfants par la COVID-19 restent faibles.

Les inquiétudes concernant l’infection des enfants par le virus de la COVID-19 sont restées faibles depuis les mois d’été. En décembre, seuls 9 % des parents ont indiqué qu’ils étaient très ou extrêmement préoccupés par la possibilité que leurs enfants contractent la COVID-19, contre 25 % en février. 19 % des parents étaient quelque peu préoccupés et 71 % ont déclaré ne pas être du tout ou être légèrement préoccupés par la possibilité que leurs enfants contractent la COVID-19.

Figure 36. Dans quelle mesure êtes-vous inquiet face à la possibilité que votre ou vos enfants soient infectés par la COVID-19?

[question posée aux répondants ayant au moins un enfant à la maison (n=427)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 36. Dans quelle mesure êtes-vous inquiet face à la possibilité que votre ou vos enfants soient infectés par la COVID-19?

    [question posée aux répondants ayant au moins un enfant à la maison (n=427)]
     

Trois quarts des parents ont déclaré que leurs enfants avaient eu la COVID-19.

73 % des parents ont déclaré que leurs enfants avaient ou avaient probablement été infectés par la COVID-19 à un moment donné au cours de la pandémie. Dans le même ordre d’idées, 77 % des parents ont déclaré qu’ils avaient ou avaient probablement été eux-mêmes infectés, contre 53 % des répondants sans enfant à la maison.

Figure 37. L’un de vos enfants a-t-il été infecté par la COVID-19?

[question posée aux répondants ayant au moins un enfant à la maison (n=427)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 37. L’un de vos enfants a-t-il été infecté par la COVID-19?

    [question posée aux répondants ayant au moins un enfant à la maison (n=427)]
     

Moins d’un cinquième des personnes interrogées déclarent que leurs enfants ont été vaccinés contre la grippe cette année.

En décembre, 16 % des parents ont déclaré que leurs enfants avaient déjà été vaccinés contre la grippe cette année et 19 % supplémentaires ont indiqué que leurs enfants allaient probablement se faire vacciner. Plus de la moitié (56 %) ont déclaré que leurs enfants ne se feraient probablement pas vacciner contre la grippe cette année.

Figure 38. Dans quelle mesure êtes-vous susceptible de faire vacciner contre la grippe votre ou vos enfants pendant la saison grippale 2022-2023?

[question posée aux répondants ayant au moins un enfant à la maison (n=427)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 38. Dans quelle mesure êtes-vous susceptible de faire vacciner contre la grippe votre ou vos enfants pendant la saison grippale 2022-2023?

    [question posée aux répondants ayant au moins un enfant à la maison (n=427)]
     

Un quart des parents ont déclaré qu’au cours des derniers mois, leurs enfants ont eu d’autres maladies que la COVID-19 plus souvent qu’avant la pandémie.

26 % des parents pensent qu’au cours des derniers mois, leurs enfants ont été atteints d’une autre maladie que la COVID-19 plus souvent qu’avant la pandémie, tandis que 15 % pensent que leurs enfants ont été moins souvent malades qu’avant la pandémie.

Figure 39. Au cours des derniers mois, combien de fois votre ou vos enfants ont-ils été atteints d’une autre maladie que la COVID-19 par rapport à avant la pandémie?

[question posée aux répondants ayant au moins un enfant à la maison (n=427)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 39. Au cours des derniers mois, combien de fois votre ou vos enfants ont-ils été atteints d’une autre maladie que la COVID-19 par rapport à avant la pandémie?

    [question posée aux répondants ayant au moins un enfant à la maison (n=427)]
     

Sources d’information et confiance

Les sources d’information sur la COVID-19 qui inspirent le plus confiance sont les travailleurs de la santé et les scientifiques

La majorité des répondants font confiance (4 ou 5 sur une échelle de 5) aux travailleurs de la santé (81 %), aux scientifiques (78 %), et aux autorités sanitaires internationales (64 %) comme sources d’information sur la COVID-19. La confiance dans les leaders de la santé publique fédéraux (63 %) et provinciaux (57 %) et dans les séances d’information des gouvernements fédéral (60 %) et provinciaux (55 %) est également relativement élevée. Moins de la moitié des répondants interrogés ont déclaré faire confiance aux journaux et autres sources journalistiques et télévisées comme sources d’information sur la COVID-19. Il n’y a eu aucun changement significatif dans la confiance à l’égard des sources d’information entre février et décembre 2022.

Figure 40. Dans quelle mesure faites-vous confiance aux sources d’information suivantes sur la COVID-19 ou vous en méfiez-vous?

[% confiance (4-5 sur une échelle de 5 points); question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 40. Dans quelle mesure faites-vous confiance aux sources d’information suivantes sur la COVID-19 ou vous en méfiez-vous?

    [% confiance (4-5 sur une échelle de 5 points); question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Une personne sur quatre déclare ne pas suivre du tout les nouvelles sur la COVID-19.

Seulement 8 % des répondants de l’étude SICO ont déclaré avoir suivi de très près les informations sur la COVID-19, et 24 % ont déclaré les suivre d’assez près. Plus du quart des répondants (26 %) ont déclaré ne pas suivre l’actualité concernant la COVID-19. Les répondants les plus âgés étaient plus susceptibles de déclarer suivre l’actualité concernant la COVID-19.

Figure 41. Dans quelle mesure, le cas échéant, avez-vous suivi l’actualité relative à la COVID-19 au cours du dernier mois?

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 41. Dans quelle mesure, le cas échéant, avez-vous suivi l’actualité relative à la COVID-19 au cours du dernier mois?

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

La consommation d’informations sur la COVID-19 est stable depuis juin

La consommation d’informations sur la COVID-19 a diminué entre avril et juin 2022 et est restée relativement stable au cours des mois suivants.

Figure 42. Dans quelle mesure, le cas échéant, avez-vous suivi l’actualité relative à la COVID-19 au cours du dernier mois?

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 42. Dans quelle mesure, le cas échéant, avez-vous suivi l’actualité relative à la COVID-19 au cours du dernier mois?

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

L'utilisation des médias sociaux varie selon la plateforme

Les répondants étaient plus susceptibles de déclarer qu’ils utilisaient Facebook (48 %) et YouTube (38 %) « plusieurs fois par jour » ou « une fois par jour » que de déclarer qu’ils utilisaient les autres plateformes des médias sociaux. L’utilisation des plateformes de médias sociaux varie selon l’âge des répondants, les plus jeunes étant moins enclins à utiliser Facebook et plus enclins à utiliser Reddit et TikTok, par rapport aux répondants plus âgés.

Figure 43. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous utilisé chacune des plateformes suivantes?

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 43. Au cours du dernier mois, à quelle fréquence avez-vous utilisé chacune des plateformes suivantes?

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

La moitié des répondants ont déclaré faire confiance au gouvernement du Canada

51 % des répondants ont déclaré faire entièrement ou modérément confiance au gouvernement du Canada, tandis que 37 % ont déclaré éprouver une méfiance modérée ou totale. Les femmes ont fait part d’une plus grande confiance (57 %) que les hommes (46 %). Les répondants ayant fait des études universitaires ont déclaré des niveaux de confiance plus élevés (65 %) que ceux qui ont fait des études collégiales (47 %) ou secondaires (46 %). Les répondants de l’Alberta (43 %), du Manitoba et de la Saskatchewan (45 %) ont déclaré une confiance plus faible que ceux des autres provinces.

Figure 44. Veuillez indiquer si, en général, vous faites confiance au gouvernement du Canada ou si vous vous en méfiez.

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 44. Veuillez indiquer si, en général, vous faites confiance au gouvernement du Canada ou si vous vous en méfiez.

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Sources d’information et confiance

Une grande partie des répondants ne sont pas certains si les affirmations factuelles sur la COVID-19 sont exactes

La majorité des répondants ont évalué correctement la plupart des affirmations vraies sur la COVID-19 comme étant quelque peu/plutôt/tout à fait exactes. ​ Cependant, une grande partie des répondants (3 à 45 %) ont indiqué qu’ils n’étaient pas certains si les affirmations étaient vraies ou fausses. Certains répondants ont évalué les affirmations vraies comme étant inexactes. Par exemple, 11 % des répondants ont jugé l’énoncé « aucun des vaccins contre la COVID-19 dont l’utilisation est autorisée au Canada ne contient le virus vivant du SRAS-CoV-2 » quelque peu, plutôt ou complètement inexact. ​

Figure 45. À votre connaissance, dans quelle mesure les affirmations suivantes sont-elles exactes ou inexactes?

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 45. À votre connaissance, dans quelle mesure les affirmations suivantes sont-elles exactes ou inexactes?

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Une minorité de répondants ont indiqué que les fausses affirmations sur la COVID-19 étaient exactes

Une minorité de répondants ont indiqué que des affirmations fausses sur la COVID-19 étaient plutôt, assez ou très exactes. Ces pourcentages allaient de 3 % à 9 %, selon l’énoncé. ​ Par exemple, 7 % des personnes interrogées ont estimé que l’affirmation suivante était au moins assez précise : « Le vaccin contre la COVID-19 pénètre dans vos cellules et modifie votre ADN ». Une grande partie des répondants n’étaient pas certains de l’exactitude de certaines affirmations. Par exemple, 32 % ne savaient pas si l’affirmation suivante était vraie ou fausse : « Le vaccin contre la COVID-19 interfère avec le développement du placenta pendant la grossesse ».

Figure 46. À votre connaissance, dans quelle mesure les affirmations suivantes sont-elles exactes ou inexactes?

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 46. À votre connaissance, dans quelle mesure les affirmations suivantes sont-elles exactes ou inexactes?

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Santé mentale et bien-être

La satisfaction de la vie est relativement stable

En décembre, 71 % des répondants avaient déclaré être satisfaits de leur vie dans l’ensemble. 8 % n’étaient ni satisfaits ni insatisfaits et 21 % étaient insatisfaits. Les répondants les plus jeunes (18 à 34 ans) ont déclaré une satisfaction à l’égard de la vie légèrement inférieure (67 %) à celle des personnes âgées de 35 à 54 ans (70 %) et des personnes âgées de 55 ans et plus (76 %).

Figure 47. Tout bien considéré, êtes-vous satisfait de votre vie dans son ensemble?

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 47. Tout bien considéré, êtes-vous satisfait de votre vie dans son ensemble?

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Plus des deux tiers des répondants déclarent être en bonne santé mentale et physique

70 % des répondants ont déclaré que leur santé mentale était excellente, très bonne ou bonne. Les répondants les plus jeunes étaient moins susceptibles de déclarer avoir une bonne santé mentale que les répondants les plus âgés. 69 % des répondants ont déclaré que leur santé physique était excellente, très bonne ou bonne. Les pourcentages de répondants se déclarant en bonne ou meilleure santé mentale et physique sont restés constants entre octobre et décembre.

Figure 48. En général, diriez-vous que votre santé mentale/physique est :

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 48. En général, diriez-vous que votre santé mentale/physique est :

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

De nombreux Canadiens ont ressenti un bien-être négatif au moins une fois au cours des deux dernières semaines.

23 % des répondants ont déclaré s’être sentis stressés la plupart du temps ou tout le temps au cours des deux dernières semaines. 20 % supplémentaires ont déclaré se sentir épuisés la plupart du temps ou tout le temps. Les répondants les plus jeunes et les femmes étaient plus susceptibles que les autres de déclarer avoir éprouvé ces indicateurs négatifs la plupart du temps ou tout le temps au cours des deux dernières semaines.

Figure 49. Au cours des deux dernières semaines, combien de fois vous êtes-vous senti…

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 49. Au cours des deux dernières semaines, combien de fois vous êtes-vous senti…

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

La plupart des Canadiens, mais pas tous, ont quelqu’un vers qui se tourner.

Lors d’une série de trois questions servant à mesurer le capital social, la majorité des personnes interrogées ont reconnu avoir quelqu’un à qui s’adresser lorsqu’elles se sentent seules, lorsqu’elles ont besoin d’un prêt d’urgence ou lorsqu’elles ont besoin de conseils. Toutefois, 10 à 15 % des répondants n’étaient pas d’accord avec ces affirmations. Les femmes interrogées étaient plus susceptibles que les hommes de convenir qu’elles ont quelqu’un à qui parler lorsqu’elles se sentent seules et qu’elles ont quelqu’un à qui demander conseil. Les deux sexes étaient également susceptibles d’avoir quelqu’un à qui s’adresser pour un prêt d’urgence. Les répondants ayant fait des études universitaires étaient plus susceptibles d’être en accord avec ces affirmations que ceux ayant fait des études collégiales ou secondaires.

Figure 50. Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes?

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 50. Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes?

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Perspectives sur la pandémie et rétablissement

Plus de la moitié des répondants croient que le pire de la crise de la COVID-19 est passé

En décembre, un peu plus de la moitié des personnes interrogées ont indiqué que le pire de la crise était derrière nous (55 %), contre 59 % en octobre. Un quart des répondants ne savent pas si le pire de la crise est passé ou reste à venir. Comme lors des vagues de collecte de données précédentes, 11 % des répondants ont indiqué qu’ils ne considéraient pas la COVID-19 comme une crise. Les hommes (14 %) étaient plus susceptibles que les femmes (8 %) de dire que la COVID-19 n’est pas une crise. Les résidents de l’Alberta (15 %) étaient également plus susceptibles que les résidents des autres provinces de penser que la COVID-19 n’est pas une crise.

Figure 51. En ce qui concerne la pandémie de COVID-19, pensez-vous que le pire est derrière nous ou à venir?

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 51. En ce qui concerne la pandémie de COVID-19, pensez-vous que le pire est derrière nous ou à venir?

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Un tiers des répondants pensent que la vie actuelle ressemble à la période prépandémique.

Dans l’ensemble, les répondants étaient assez divisés sur le moment où ils pensent que la vie ressemblera à la période prépandémique. 32 % pensent que la vie ne ressemblera jamais à la période prépandémique, 32 % pensent que la vie ressemble déjà à la période prépandémique, 20 % pensent qu’il faudra plus de six mois pour y revenir et 4 % pensent qu’il faudra de un à six mois. Au fil du temps, il y a eu une augmentation importante du nombre de personnes qui pensent que la vie ressemble déjà à la période prépandémique (de 3 % en février à 32 % en décembre).

Figure 52. Quand pensez-vous que la vie quotidienne au Canada ressemblera à celle d’avant la pandémie? Les répondants sont divisés sur le moment où ils pensent que la vie reviendra à la normale.

[question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 52. Quand pensez-vous que la vie quotidienne au Canada ressemblera à celle d’avant la pandémie? Les répondants sont divisés sur le moment où ils pensent que la vie reviendra à la normale.

    [question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Le coût de la vie et les divisions sociétales sont les préoccupations principales , l'impact de COVID sur l'économie l'est moins.

Les deux tiers des répondants de l’étude SICO (66 %) ont indiqué qu’ils étaient préoccupés par l’inflation ou l’augmentation du coût de la vie. Les répondants âgés de 55 ans et plus et les résidents de la Colombie-Britannique et du Québec étaient moins susceptibles d’être préoccupés par l’inflation. 61 % ont indiqué qu’ils étaient préoccupés par l’augmentation des divisions et/ou des conflits dans la société. Les répondants âgés de 18 à 34 ans et les résidents de l’Alberta et de l’Ontario étaient plus susceptibles que les autres d’être préoccupés par l’augmentation des divisions dans la société. Les préoccupations concernant les répercussions de la COVID-19 sur l’économie continuent de baisser, passant de 63 % des répondants en février à 34 % en décembre.

Figure 53. À l’heure actuelle, dans quelle mesure êtes-vous préoccupés par les sujets suivants :

[% Inquiet (4-5 sur 5); question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 53. À l’heure actuelle, dans quelle mesure êtes-vous préoccupés par les sujets suivants :

    [% Inquiet (4-5 sur 5); question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

Les répondants demeurent préoccupés par la surcharge du système de santé

59 % des répondants déclarent être très ou extrêmement préoccupés par la surcharge du système de santé. Les répondants les plus âgés (64 %) et les femmes (65 %) étaient plus susceptibles que les autres d’être préoccupés par la surcharge du système de santé. 37 % des répondants étaient préoccupés par l’impact de la pandémie sur la santé mentale des Canadiens. Les répondants les plus âgés (27 %) et les hommes (32 %) étaient moins préoccupés par les répercussions sur la santé mentale.

Figure 54. À l’heure actuelle, dans quelle mesure êtes-vous préoccupés par les sujets suivants :

[% Inquiet (4-5 sur 5); question posée à tous les répondants (n=1886)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 54. À l’heure actuelle, dans quelle mesure êtes-vous préoccupés par les sujets suivants :

    [% Inquiet (4-5 sur 5); question posée à tous les répondants (n=1886)]
     

La plupart des préoccupations liées à la COVID, à l’exception de la surcharge du système de santé, ont diminué au fil du temps.

Au fil du temps, la plupart des préoccupations liées à la santé ont diminué. La seule exception concerne la part des répondants préoccupés par la surcharge du système de santé, qui a augmenté en août et est restée stable à 59 % entre août et octobre.

Figure 55. À l’heure actuelle, dans quelle mesure êtes-vous préoccupés par les sujets suivants liés à la santé?

[question posée à tous les répondants (n=2,000)]
 
  • Figure - Équivalent textuel

    Table 55. À l’heure actuelle, dans quelle mesure êtes-vous préoccupés par les sujets suivants liés à la santé?

    [question posée à tous les répondants (n=2,000)]
     

Prochaines étapes

L’équipe des sciences du comportement d’Impact Canada utilisera une série d’analyses statistiques pour rechercher des tendances dans les données, ce qui nous permettra de répondre à des questions comme les suivantes :

  • Comment l’intention de se faire vacciner évolue-t-elle dans le temps?
  • En quoi les variations de la confiance aux sources d’information du gouvernement influent-elles au fil du temps sur l’intention de se faire vacciner?
  • En quoi les caractéristiques individuelles (p. ex., sexe, connaissances de base ou anxiété, état infectieux) entraînent-elles au fil du temps des changements de l’intention de se faire vacciner?
  • Comment les interactions entre le sexe et la confiance aux sources d’information du gouvernement influent-elles au fil du temps sur l’intention de se faire vacciner?

Nous sommes prêts, également, à passer à la deuxième phase de la collecte de données et à prolonger le projet dans l’année 2021!

Pour nous joindre

Pour en savoir plus ou pour explorer la possibilité de travailler avec nous, veuillez contacter l’Unité de l’impact et de l’innovation du Bureau du Conseil privé.

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